Citations sur brit. iii 8

Ils ne s'attendaient pas, lorsqu'ils me virent naître, Qu'un jour Domitius dût me parler en maître

Et l'aspect de ces lieux où vous la retenez

Je sais l'art de punir un rival téméraire

Ma fuite arrêtera vos discordes fatales

Je connais mal Junie ou de tels sentiments Ne mériteront pas ses applaudissements

Seigneur, mille malheurs persécutent sa vie

Seigneur, j'irai remplir le nombre des vestales

Ainsi par le destin nos voeux sont traversés

Elle [Rome] se tait du moins ; imitez son silence

Du moins, si je ne sais le secret de lui plaire, Je sais l'art de punir un rival téméraire

Ma fuite arrêtera vos discordes fatales ; Seigneur, j'irai remplir le nombre des vestales

Je conçois vos bontés par ses remercîments

Souffrez que, de vos coeurs rapprochant les liens, Je me cache à vos yeux et me dérobe aux siens

Dans son appartement, gardes, qu'on la ramène

Ainsi par le destin nos voeux sont traversés, J'obéissais alors, et vous obéissez

Ma fuite arrêtera vos discordes fatales ; Seigneur, j'irai remplir le nombre des vestales

De combien de soupirs interrompant le cours, Ai-je évité vos yeux que je cherchais toujours ?

C'est ainsi que Néron sait disputer un coeur

Et que vous montrent-ils [ces lieux] qui ne vous avertisse Qu'il faut qu'on me respecte et que l'on m'obéisse ?

Si vous n'avez appris à vous laisser conduire, Vous êtes jeune encore, et l'on peut vous instruire

Vous êtes jeune encore, et l'on peut vous instruire

Elle [Rome] se tait du moins : imitez son silence

Ainsi Néron commence à ne se plus forcer

Ce lieu le favorise, et je vous y retiens Pour lui faciliter de si doux entretiens

Pour lui faciliter de si doux entretiens