Citations sur ib. i 2

Je puis l'instruire au moins combien sa confidence Entre un sujet et lui doit laisser de distance

Quand, pour quelques clartés dont ton esprit abonde, Ton orgueil à quelque autre ose se préférer

C'est ce que de la tour j'ai clairement pu voir

Puissent jusques au ciel vos soupirs innocents Monter comme l'odeur d'un agréable encens !

Terre, assoupissez vos échos ; Étends tes vagues sur les plages, ô mer....

Jaune paisle, jaune doré, couleur de Judas, d'aurore, de serain

Elle [Angélique] est après le jeu ce qu'il aime le mieux

Un ordre qui d'abord a pu vous alarmer, Mais qui n'est que l'effet d'une sage conduite Dont César a voulu que vous soyez instruite

De tes concitoyens la rage impitoyable

Le corbeau honteux et confus Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus

Ces califes tremblants dans leurs tristes grandeurs

Encore n'était-ce que de sa garde, qu'il s'occupait ainsi ; dans l'armée, les soldats se plaignaient de son absence ; ils ne le voyaient plus qu'aux jours des combats, quand il fallait mourir, jamais pour les faire vivre

On voit les lois s'établir, les moeurs se polir et les empires se former

Quand verrai-je, ô Sion, relever tes remparts Et de tes tours les magnifiques faîtes ? Quand verrai-je de toutes parts Tes peuples en chantant accourir à tes fêtes ?

Sous le fer castillan ce monde [l'Amérique] est abattu

Seigneur, honorez moins une faible conquête

Il ne connaît encor d'autre père que toi

On entend ce que l'on conçoit par le terme de temps ; c'est ce mouvement supposé

N'aurai-je vu briller cette noble chaleur

Ah ! quittez d'un censeur la triste diligence

Mes filles, chantez-nous quelqu'un de ces cantiques, Où vos voix si souvent se mêlant à mes pleurs De la triste Sion célèbrent les malheurs

[il] Faisoit de l'asne pour avoir du bran