Citations sur 201

Et si j'ay quelque chose à despescher par la ville, je prens cela pour mon pourmenoir et pour mon exercice

Ce fu aussi comme une prophecie de la grant foison de gens qui moururent en ce douz [double] croisement

Il fu couronné le premier dymanche des advens

Sa mere l'enseigna à Dieu croire et à amer, et li atraït entour li toutes gens de religion

Après ce que le roy fut couronné

Et, ainsi, biaus sire Diex, je leverai m'amme à toy, et je me fie en toy

Tu t'adresses aux armes

Au gentilhomme bien né, son estude, exercice et plaisir, doit estre en toutes les vertus

Savés-vous qui estoit s'amie ? la Rose, 835 Dieu, en qui il mist sa fiance, le gardoit touz jours dès s'enfance

M. de Turenne reçut le coup au travers du corps, vous pouvez penser s'il tomba et s'il mourut ; cependant le reste des esprits fit qu'il se traîna la longueur d'un pas et que même il serra la main par convulsion, et puis on jeta un manteau sur son corps

Le cardinal fit courre après

Je croy que nul ne me contredira que la pieté, la verité et la justice ne doyvent marcher devant la fortitude

Qui nous est une telle et si grande injure et qui nous revient à si grant ennuy, qu'il n'est possible que nous la puissions comporter

Un gentilhomme qui voulut être le premier à lui faire son compliment [à la mort de Turenne]

Qui n'aime son mestier, Ne son mestier lui, Ce dit li vilains, Prov. du comte de Bret. ms. de St-Germain, f° 114, dans LACURNE. Bien li fu mestier que il eust en sa joenesce l'aide de Dieu

Je me purgerai après le plein de la lune

Celi jour porte l'en croix aus processions en moult de liex, et en France les appele l'en les croiz noires

En Dieu [il] ot moult grant fiance jusques à la mort

Et voit-on cler par ce seel [sceau] que l'empreinte du seel brisée est semblable au seel entier

Maint grant deul en furent en cest monde, et maintes grans joies en sont en paradis

Sans point de faute un bien fort retiré Est d'un chascun beaucoup plus desiré

Ainsi nous avons deux choses à considerer, quand nous parlons de cette humanité ; c'est que nous ne lui ostions pas la verité de sa nature, et que nous ne desrogions rien à sa condition glorieuse

En ses darrenieres paroles reclamoit il Dieu et ses sains

Pastennades, raves, choux-cabus

Mme de Lavardin et M. d'Arrouy sont mes boussoles