Citations sur henr. x.

Sur les deux combattants tous les yeux s'attachèrent

Cette mère [au siége de Paris] Enfonce, en frémissant, le parricide acier

Nourri dans l'abondance, au luxe accoutumé

Cent coups étaient portés et parés à l'instant

Cent coups étaient portés et parés à l'instant

Louis, qui du plus haut de la voûte divine Veille sur les Bourbons

Ils [les Parisiens assiégés par Henri IV] voyaient devant eux ces piques formidables... Ces lances qui toujours avaient porté la mort... Au bout d'un fer sanglant leur apporter la vie

Dès lors on admira ce règne fortuné, Et commencé trop tard et trop tôt terminé

Ces spectres affamés, outrageant la nature, Vont au sein des tombeaux chercher leur nourriture [lors de la famine du siége de Paris]

Des ligueurs obstinés confonds les vains projets

Ces moments dangereux perdus dans la mollesse

C'est à moi de nourrir mes enfants, Et d'arracher mon peuple à ces loups dévorants

La mollesse De leur goût dédaigneux irritait la paresse

Si tes yeux [de Dieu] quelquefois Honorent d'un regard les peuples et les rois

Leur transport est semblable à la cruelle joie Des ours et des lions qui fondent sur leur proie

Le fer étincelant, avec art détourné, Par de feints mouvements trompe l'oeil étonné

Bientôt le riche même, après de vains efforts, Éprouva la famine au milieu des trésors

D'un oeil d'impatience il dévorait sa proie

Ils ne se cachent pas sous ces bustes d'acier, Des anciens chevaliers ornement honorable