Citations sur esth. i 2

Prospérez, cher espoir d'une nation sainte

Lève-toi, m'a-t-il dit, prends ton chemin vers Suse ; Là tu verras d'Esther la pompe et les honneurs

Sion, jusques au ciel élevée autrefois, Jusqu'aux enfers maintenant abaissée

Ô rives du Jourdain, ô champs aimés des cieux !

Quand verrai-je de toutes parts Tes peuples en chantant accourir à tes fêtes ?

Sion, jusques au ciel élevée autrefois, Jusqu'aux enfers maintenant abaissée

Quelle aimable pudeur sur leur visage est peinte !

Du doux pays de nos aïeux Serons-nous toujours exilées ?

Que Dieu jette sur vous des regards pacifiques !

Quelle aimable pudeur sur leur visage est peinte !

Quand verrai-je, ô Sion, relever tes remparts, Et de tes tours les magnifiques faîtes ?

Déplorable Sion, qu'as-tu fait de ta gloire ? Tout l'univers admirait ta splendeur

Sacrés monts, fertiles vallées, Par cent miracles signalées

Ô rives du Jourdain ! ô champs aimés des cieux ! Sacrés monts, fertiles vallées

Quand verrai-je, ô Sion, relever tes remparts Et de tes tours les magnifiques faîtes ?

Quand verrai-je, ô Sion, relever tes remparts Et de tes tours les magnifiques faîtes ?

Que Dieu jette sur vous des regards pacifiques !

La reine nous appelle ; Allons, rangeons-nous auprès d'elle

Quand verrai-je, ô Sion, relever tes remparts Et de tes tours les magnifiques faîtes ? Quand verrai-je de toutes parts Tes peuples en chantant accourir à tes fêtes ?

Puissent jusques au ciel vos soupirs innocents Monter comme l'odeur d'un agréable encens !

Ciel, quel nombreux essaim d'innocentes beautés S'offre à mes yeux en foule et sort de tous côtés !

Du doux pays de nos aïeux Serons-nous toujours exilées ?

Quand verrai-je, Ô Sion, relever tes remparts Et de tes tours les magnifiques faîtes ?

Sion, jusques au ciel élevée autrefois, Jusqu'aux enfers maintenant abaissée

Compagnes autrefois de ma captivité De l'antique Jacob jeune postérité