Citations sur rives

Et de Beaune et d'Aï les rives fortunées... Sous leurs bruyants pressoirs font couler en ruisseaux Des vins délicieux, mûris sur leurs coteaux

C'était sur les rives du Rhin qu'on vous mettait à la pourchasse de l'ennemi

Après de longs préparatifs, l'armée, forte d'environ cent mille hommes, se rassembla au port d'Aulide ; et près de douze cents voiles la transportèrent sur les rives de la Troade

Il [le dieu du Rhin] se trouble, il regarde, et partout sur ses rives Il voit fuir à grands pas ses naïades craintives

Nous pouvons à l'écart, sur ces rives du Phase, Parler en sûreté du feu qui vous embrase

Le Léthé baigne en paix ces rives bocagères

Aux rives du Silare, où des forêts d'yeuses Prolongent dans les champs leurs ombres ténébreuses

Descends sur les rives sombres du Styx

Sur les rives de la Loire, suivi d'un petit nombre d'officiers et de domestiques, il court à la défense d'un pont, et tient ferme contre une armée.... il étonna par sa résolution ceux qu'il ne pouvait arrêter par la force

Sur ces rives tumultueuses Où les passions fastueuses Font régner le luxe et le bruit

Saint Louis vers nos rives Eût de ses chevaliers guidé l'arrière-ban

Les rives sont mouillées, et les chevaus leur cheent [tombent] sur les cors et les noient

Amants, heureux amants, voulez-vous voyager ? Que ce soit aux rives prochaines

Amants, heureux amants, voulez-vous voyager ? Que ce soit aux rives prochaines ; Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau, Toujours divers, toujours nouveau

Amants, heureux amants, voulez-vous voyager, Que ce soit aux rives prochaines

Avec beaucoup de peines On s'en va la [la mort] chercher en des rives lointaines

Amants, heureux amants, voulez-vous voyager ? Que ce soit aux rives prochaines

Amants, heureux amants, voulez-vous voyager ? Que ce soit aux rives prochaines

Océan, qui sur tes rives Épands tes vagues plaintives

Et d'un émerveillable échange Tu [soleil] couchas aux rives du Gange

Que dirai-je des bains que produit le sein de la terre pour une infinité de maladies, et des eaux chaudes qui sourdent aux rives de la mer ?

Rômont le reconnaît, le suit et le harcelle ; Et, vomissant l'outrage, il élève la voix : C'est donc toi, criait-il, fier bouvier de montagne, Aux rives du Léman si terrible autrefois

Quand aux champs de Naeffels quelques cents de ces braves [Suisses] Enfoncèrent les rangs de quinze mille esclaves [Autrichiens], La liberté sourit à ce sublime effort ; Et, la gloire accourant du haut des Thermopyles, Le Klonthal ignoré vit ses rives tranquilles S'ombrager des lauriers cueillis à Marathon

Sur nos rives du Cher où tout est divisé, où se trouvent à peine deux arpents d'un tenant

Du Danube asservi les rives désolées