Citations sur sat. viii

Jamais la biche en rut n'a pour fait d'impuissance Traîné du fond des bois un cerf à l'audience

....Il montre sa rotonde ; Cet ouvrage est-il beau ?...

D'assez d'autres propos il me rompit la tête

L'homme de la nature est le chef et le roi

C'est ainsi qu'à son fils un usurier habile Trace vers la richesse une route facile

Quiconque est riche est tout

Depuis aux bons sergents j'ai porté révérence

Sache quelle province enrichit les traitants, Combien le sel au roi peut fournir tous les ans

Au milieu de Paris il promène sa vue

Et prie Dieu qu'il nous garde en ce bas monde ici

Il faut partir, les matelots sont prêts

Prends-moi le bon parti : laisse-là tous les livres

La tête la première Me jeter du Pont-Neuf à bas dans la rivière

Il [l'homme riche] est aimé des grands, il est chéri des belles ; Jamais surintendant ne trouva de cruelles

Jamais, contre un renard chicanant un poulet, Un renard de son sac n'alla charger Rolet

Sans craindre archers, prévôt, ni suppôt de justice

Chercher jusqu'au Japon la porcelaine et l'ambre

L'ours a-t-il, dans les bois, la guerre avec les ours ?

Un aigle sur un champ prétendant droit d'aubaine

Lorsqu'il entend de loin d'une gueule infernale La chicane en fureur mugir dans la grand'salle

Après tous ces propos qu'on se dit d'arrivée

Endurcis-toi le coeur, sois arabe, corsaire

Ce discours te surprend, docteur, je l'aperçoi

Ce beau valet.... M'eût donné l'anguillade et puis m'eût laissé là

Chercher jusqu'au Japon la porcelaine ou l'ambre