Citations sur sat. x.

Ce vaisseau.... Qui survécut au temps qui l'avait consommé

Je lui dirais bientôt : je connais tous vos pères, Je sais qu'ils ont brillé dans ce fameux combat Où sous l'un des Valois Enghien sauva l'État

Vous faites le savant, et n'êtes pas congru

Qui du soin qu'elle prend de me gronder sans cesse Va quatre fois par mois se vanter à confesse, Et, les yeux vers le ciel, pour se le faire ouvrir, Offre à Dieu les tourments qu'elle me fait souffrir

L'épouse que tu prends, sans tache en sa conduite, Aux vertus, m'a-t-on dit, dans Port-Royal instruite

Est-ce qu'à faire peur on veut vous condamner ?

Pour une fille.... Croit-elle en ses valets voir quelque complaisance

Au compas du devoir il règle son courage

Oh ! que, pour la punir de cette comédie, Ne lui vois-je une vraie et longue maladie !

Un escadron coiffé d'abord court à son aide ; L'une chauffe un bouillon, l'autre apprête un remède

Ces histoires de morts lamentables, tragiques

....à ce discours je te trouve un peu morne

T'ai-je tracé la vieille à morgue dominante ?

Ainsi sur chaque auteur il trouve de quoi mordre

Quel sujet, dira l'un, peut donc si fréquemment Mettre ainsi cette belle aux bords du monument ?

Mon bien se monte à tant : tenez, voilà le vôtre

Rien n'égale en fureur, en monstrueux caprices, Une fausse vertu qui s'abandonne aux vices

Son avarice.... Le fit dans une avare et sordide famille Chercher un monstre affreux sous l'habit d'une fille

T'ai-je peint ces tristes Tisiphones [les femmes qui haïssent leurs enfants], Ces monstres pleins d'un fiel que n'ont point les lionnes ?

Dans ce grand monde où tu vas l'entraîner [ta femme]

[Elle] Croit que c'est aimer Dieu que haïr tout le monde

Par les chemins fleuris d'un charmant quiétisme Tout à coup l'amenant au vrai molinosisme, Il lui fera bientôt, aidé de Lucifer, Goûter en paradis les plaisirs de l'enfer

Le pain bis renfermé d'une moitié décrut

La parque.... a-t-elle moissonné l'espoir de sa famille ?

Avec un froid adieu je minute ma fuite