Citations sur heracl. iii 1

Un père à qui le sang l'attache

Qu'un si charmant abus serait à préférer à l'âpre vérité qui vient de m'éclairer

Qu'aisément l'amitié jusqu'à l'amour nous mène !

Quand malgré ma fortune à vos pieds abaissée J'osai jusques à vous élever ma pensée

Qu'aisément l'amitié jusqu'à l'amour nous mène ! C'est un penchant si doux qu'on y tombe sans peine

Plus plein d'étonnement que de timidité

Et je tiendrai toujours mon bonheur infini, Si les miens sont vengés, et le tyran puni

Et comme tous mes feux n'avaient rien que de saint, L'honneur les alluma, le devoir les éteint

Et la haine à mon gré les fait plus doucement [les divorces] Que quand....

J'approchais de quinze ans alors qu'empoisonnée Pour avoir contredit mon fatal hyménée, Elle mêla ces mots à ses derniers soupirs

À mes confus regrets soyez donc moins sévère

Qu'aisément l'amitié jusqu'à l'amour nous mène ! C'est un penchant si doux qu'on y tombe sans peine

Votre perte est jurée

L'impératrice, à qui je dois le jour, Avait innocemment fait naître cet amour

Et je m'imputais même à trop de vanité De trouver entre nous quelque inégalité

Garantissez ma soeur des fureurs de Phocas

J'approchais de quinze ans alors qu'empoisonnée, Pour avoir contredit mon indigne hyménée

Mais quel mauvais démon devers nous le conduit ?

Ne pouvant être à moi, soyez à ce que j'aime