Citations sur bossuet

Je voudrais qu'elle [une affaire] fût perdue, à condition que celles de Jouarre prissent fin ; je n'y oublierai rien

L'ardeur de leurs disputes insensées et leur religion arbitraire est devenue la plus dangereuse de leurs maladies

Il est visible que l'âme se trouve assujettie par ses sensations aux dispositions corporelles

Sa première inclination est de nous bien-faire

L'empereur faisait retoucher à son livre

La princesse Anne n'était point heureuse pour avoir la confiance de Philippe et des deux princesses qui ont fait successivement avec lui la seconde lumière de la cour

Croyons donc avec saint Jean en l'amour d'un Dieu ; la foi nous paraîtra douce en la prenant par un endroit si tendre

La liberté leur était un trésor qu'ils [les Romains] préféraient à toutes les richesses de l'univers

Si vous ôtez par soustraction quelques vérités fondamentales, le ministère n'est plus

Dieu, dit la princesse Anne, me donnera peut-être de la santé pour aller servir cette paralytique

L'indépendance qu'on attribue à la charité, tant de la béatitude que des autres bienfaits de Dieu

Si elle [la réforme] était bien revenue de l'abominable erreur de faire Dieu auteur du péché, de dire qu'il le préordonne et pousse les hommes aux crimes énormes

Ce n'est pas l'homme que j'ai méprisé, ne le croyez pas ; ce sont les opinions, ce sont les erreurs par lesquelles l'homme abusé se déshonore lui-même

Les hommes se sentent liés par quelque chose de fort, lorsqu'ils songent que la même terre qui les a portés et nourris étant vivants, les recevra en son sein quand ils seront morts

Ils [les béguards] s'appelaient les contemplatifs, les gens spirituels et intérieurs

La réponse des Juifs était aisée : Les illusions des magiciens n'ont jamais un effet durable, ni ne tendent à établir, comme a fait Moïse, le culte du Dieu véritable et la sainteté de vie

Et encore que le règne de ce grand Messie soit souvent prédit dans les Écritures sous des idées magnifiques

Pour justifier les variations de la réforme, il a fallu en trouver dans l'ancienne Église

Tous les raffinements dont nous nous servons pour couvrir nos tables, suffisent à peine à nous déguiser les cadavres qu'il nous faut manger pour nous assouvir

Que ne lui promit-on pas alors ?

Il fait son apprentissage de la pauvreté

Vous me direz peut-être que, sous le nom de pain quotidien, vous lui demandez [à Dieu] les biens temporels qu'il a voulu être nécessaires pour soutenir cette vie mortelle

Que pouvait penser le prince, si ce n'est que, pour accomplir les plus grandes choses, rien ne manquerait à ce digne fils que les occasions ?

On eût dit que les prisons n'étaient faites que pour eux [les chrétiens, sous Dioclétien] ; aussi étaient-elles tellement remplies de ces innocents coupables, qu'il ne restait plus de place dans les cachots pour les malfaiteurs

Saint Paul avait bien appelé le corps humain ressuscité un corps spirituel à cause des qualités divines, surnaturelles et supérieures aux sens dont il était revêtu ; à plus forte raison le corps du Sauveur mis dans l'eucharistie d'une manière si fort incompréhensible pouvait-il être appelé de ce nom