Citations sur serree

À l'endroit où l'isle se va estroississant en une longue chausse serrée d'un costé et d'autre de la mer

Au milieu de la nébulosité de la chevelure, qui est le caractère distinctif des comètes, Jean-Baptiste Cysatus remarqua un espace plus lumineux et d'une clarté plus dense et plus serrée ; c'est proprement le disque et le corps de la comète ; il l'appela le noyau

On s'assied ; mais d'abord notre troupe serrée Tenait à peine autour d'une table carrée

Mais et les princes et les peuples gémissaient en vain ; en vain Monsieur, en vain le roi même tenait Madame serrée par de si étroits embrassements.... la mort plus puissante nous l'enlevait entre ces royales mains

En vain Monsieur, en vain le roi même tenait Madame serrée par de si étroits embrassements

Les princes et les peuples gémissaient en vain ; en vain Monsieur, en vain le roi même tenait Madame serrée par de si étroits embrassements ; elle leur échappait....

La gravure serrée peint mieux, donne de la douceur, la gravure lâche alourdit, ôte la souplesse et fatigue l'oeil

S'en eu [j'eus d'ivresse] si serrée la teste, Que riens ne veoie, n'ooie

L'harquebuserie tiroit comme en salve, et se tenoit trop serrée ensemble

La frégate fut serrée contre la terre, l'arrière fort près des roches ; il fut impossible de songer à se touer

La main à demy serrée et les doigts un peu croches [signifiaient] consentement

Synarthrose : quand la jointure des os est serrée et adjutée de près

Mes deux bras lui servirent de ceinture, très serrée à la vérité, mais sans se déplacer un moment

Un homme serré, un homme avare, qui a de la peine à donner, à dépenser Les discours de son confesseur forcèrent Monsieur de vivre d'une manière qui pouvait passer pour serrée à son égard [quant à lui]

Cette langue forte et serrée qui semble indiquer bien plus de sentiments encore qu'elle n'en exprime

Ce fut lui [le grand Condé] qui, avec de la cavalerie, attaqua cette infanterie espagnole jusque-là invincible, aussi forte, aussi serrée que la phalange ancienne

Lecteurs sages, remarquez que Pascal, ce coryphée des jansénistes, n'a dit dans tout ce livre sur la religion chrétienne que ce qu'ont dit les jésuites ; il l'a dit seulement avec une éloquence plus serrée et plus mâle