Citations sur moliere

Et s'il faut, poursuivit la vieille charitable, Que votre cruauté lui refuse un secours, C'est un homme à porter en terre dans deux jours

Çà, je veux étouffer le courroux qui m'enflamme, Et tout du long t'ouïr sur ta commission

Où pouvez-vous donc prendre de quoi entretenir l'état que vous portez ?

Du meilleur de mon coeur je donnerais sur l'heure Les vingt plus beaux louis de ce qui me demeure, Et pouvoir à loisir sur ce mufle assener Le plus grand coup de poing que je puisse donner

Apprenez, sotte, à vous énoncer moins vulgairement

Tout ce tracas qui suit les gens que vous hantez

D'où vient qu'un triste nuage Semble offusquer l'éclat de ces beaux yeux ?

Pourquoi voulez-vous croire Que de ce cas fortuit dépende notre gloire ?

Si vous conseilliez à moi, je serais fort embarrassé

Cet empire que tient la raison sur les sens Ne fait pas renoncer aux douceurs des encens

Faites parler les droits qu'on a dessus mon coeur

Vois-tu ce petit trait, ce fleuret, ces coupés ?

La chute en est jolie, amoureuse, admirable

Il faut faire mon testament, m'amour, de la façon que monsieur dit

Vous pourriez bien ici sur votre noir jupon, Monsieur l'huissier à verge, attirer le bâton

Jour de Dieu ! je l'étranglerais de mes propres mains, s'il fallait qu'elle forlignât de l'honnêteté de sa mère !

Et surtout de boire mon vin fort trempé

Tous ses soins vont au ciel

Je me sens un coeur à aimer toute la terre

Ah ! monsieur, c'est un spectre, je le reconnais au marcher

Il [mon médecin] m'ordonne des remèdes, je ne les fais pas, et je guéris

À ne démordre point de mon habillement

Je n'ai attrapé de leur manière de réciter que ce qui m'a d'abord sauté aux yeux

Ai-je bien fait de la bile ?

J'observe comme vous cent choses tous les jours, Qui pourraient mieux aller prenant un autre cours