Citations sur moliere

Non, je ne reviens pas, car je n'ai pas été ; Je ne vais pas aussi, car je suis arrêté

...sans leur dire gare, elle [la mort] abat les humains

On doit se regarder soi-même un peu longtemps, Avant que de songer à condamner les gens

Jamais, certes, jamais plus beau commencement N'eut en si peu de temps plus triste événement

Cet attachement dont la délicatesse de mon coeur se tenait offensée

Heureux, si vous voulez, malheureux, s'il vous plaît

Elle affecte toujours un ton de voix languissant et niais

Quel caquet est le vôtre !

Cathos : Le moyen, mon oncle, qu'une fille un peu raisonnable se pût accommoder de leur personne ? - Gorgibus : Et qu'y trouvez-vous à redire ?

Aussi ne vois-je rien qui soit plus odieux Que le dehors plâtré d'un zèle spécieux

Que voulez-vous faire ?Prendre ce petit lavement-là : ce sera bientôt fait

Vous savez bien que vous me permettez les disputes, et que vous ne me défendez que les remontrances

Mon Dieu ! qu'ils n'appréhendent rien ; je leur garantis le succès de leur pièce

Valère a votre foi, la tiendrez-vous ou non ?

Un pouvoir dont le malheureux, Madame, n'aura plus affaire

Ô grande puissance De l'orviétan !

Au nom de Jupiter, laissez-nous en repos, Et ne nous chantez plus d'impertinents propos

Vous venez m'amuser de vos belles paroles, Et conservez sous main des espérances folles

La rime n'est pas riche, et le style en est vieux [d'une chanson]

C'est une grande atteinte aux vices, que de les exposer à la risée de tout le monde

Paix, coquin que vous êtes, vous ne savez ce que vous dites

Ma femme bien souvent a la tête un peu chaude

Je veux que l'on soit homme, et qu'en toute rencontre Le fond de notre coeur dans nos discours se montre, Que ce soit lui qui parle et que nos sentiments Ne se masquent jamais sous de vains compliments

Il y en a d'aucunes qui prennent des maris seulement pour se tirer de la contrainte de leurs parents

Elle [votre fille] peut péricliter, si on ne lui donne du secours