Citations sur moliere

Lui qui connaît sa dupe et qui veut en jouir, Par cent dehors fardés a l'art de l'éblouir

Adieu, videz sans moi tout ce que vous aurez

Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable

Comment, bourreau, tu fais des cris ?

Et je vous viens, monsieur, avec votre licence, Signifier l'exploit de certaine ordonnance

Mais, pour vous régaler Du souci qui pour elle ici vous inquiète, Elle vous fait présent de cette cassolette. - Fi ! cela sent mauvais et je suis tout gâté

Vous savez que je suis auprès d'elle en quelque espèce de faveur, que j'y ai les accès ouverts....

Je ne sais pas si cela se peut ; mais je sais bien que cela est

Je romps tes attentes

Je suis dans une colère que je ne me sens pas

Je vais faire informer de cette affaire-ci Contre ce Mascarille....

À votre aise vous en parlez

Feindre à s'ouvrir à moi dont vous avez connu Dans tous vos intérêts l'esprit si retenu

Mais, Frosine, as-tu entretenu la mère touchant le bien qu'elle peut donner à sa fille ? lui as-tu dit qu'il fallait qu'elle s'aidât un peu, qu'elle fît quelque effort, qu'elle se saignât pour une occasion comme celle-ci ?

Tout ce qu'on fait ne va qu'à....

Tu ne me diras plus, toi qui toujours me cries, Que je gâte, en brouillon, toutes tes fourberies

La peine qu'il souffre [de la captivité de son fils] lui fait trouver cent moyens ridicules pour ravoir son fils

Puisqu'entre humains ainsi vous vivez en vrais loups, Traîtres, vous ne m'aurez de ma vie avec vous

Au reste, mon amour, quand je l'ai fait paraître, N'a point été mal vu des yeux qui l'ont fait naître

....Je suis un valet, mais fort homme d'honneur

Que puissiez-vous avoir toutes choses prospères !

Où tend Mascarille à cette heure ?

Ah ! vous avez plus faim que vous ne pensez pas

Et tâchons d'ébranler, de force ou d'industrie, Ce malheureux dessein qui nous a tous troublés

Et ma femme est terrible avecque son humeur