Citations sur moliere

Si j'avais dessus moi ces paroles nouvelles, Nous les lirions ensemble, et verrions les plus belles

Ces conversations ne font que m'ennuyer ; Et c'est trop que vouloir me les faire essuyer

Voilà sa folie qui le tient

Que le ciel la préserve à jamais de danger ! Voyez quelle bonté de vouloir me venger !

J'ai peur qu'elle ne soit mal payée de son amour, que son voyage en cette ville produise peu de fruit, et que vous eussiez autant gagné à ne bouger de là

Si j'y retombe plus, je veux bien qu'on m'affronte

M. Jourdain : Tu te moques de moi. - Nicole : Nenni, monsieur, je serais bien fâchée

Attaché dessus vous comme un joueur de boule Après le mouvement de la sienne qui roule

Et l'on veut assoupir la chose en sa naissance

Dont j'aurais tenté la libéralité par une épître dédicatoire bien fleurie

Il est trop véritable

Chacun fait ici-bas la figure qu'il peut, Ma tante ; et bel esprit, il ne l'est pas qui veut

Elle affecte toujours un ton de voix languissant et niais

Et Malherbe et Balzac, si savants en bons mots, En cuisine peut-être auraient été des sots

Je crois qu'il y a quelque anguille sous roche

Vous raillez ; ce n'est pas Henriette qu'il aime. - .... Vous me voyez, ma soeur, chargé par lui D'en faire la demande à son père aujourd'hui

Nul n'aura de l'esprit, hors nous et nos amis

La promenade est belle. - Fort belle. - Le beau jour !- Fort beau

Ah ! ah ! c'est toi, Frosine ? que viens-tu faire ici ? - Ce que je fais partout ailleurs : m'entremettre d'affaires, me rendre serviable aux gens

Ce n'est plus que la ruse aujourd'hui qui l'emporte

Quand un carrosse fait de superbe manière, Et comblé de laquais et devant et derrière

Je noterai cela, madame, dans mon livre

Et ce n'est pas mon fait que les choses d'esprit

Puis, outre tout cela, vous faisiez sous la table Un bruit, un triquetrac de pieds insupportable

Je m'en vais trouver Mopse, et lui faire ouverture De l'amour que sa nièce et toi vous vous portez