Citations sur faites-vous

Mais quel radotage me faites-vous là, Basile ?

Des fleurs de votre teint Où faites-vous emplette ?

Des fleurs de votre teint Où faites-vous emplette ?

Pourquoi vous faites-vous de nouveaux liens ? pourquoi aggravez-vous votre fardeau ?

Quel diable d'amphigouri me faites-vous sur les grains ? il y a à la halle deux sortes de farine : il y a la farine dite malicet, du nom de celui qui la fournit, qui est plus belle, plus chère, et peut-être dans des sacs cachetés....

Que faites-vous par vos crédulités et vos complaisances ? vous animez le médisant, vous réchauffez le serpent qui pique

Éternité, néant, passé, sombres abîmes, Que faites-vous des jours que vous engloutissez ? Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes Que vous nous ravissez ?

Comment faites-vous cas de chose si petite ?

Voici venir celui qui vous doit tuer.... pourquoi le prévenez-vous, et pourquoi vous faites-vous procureur de la cruauté d'autrui ?

Que faites-vous pour l'éternité que vous ne rendiez au monde au centuple ?

Peut-être vous faites-vous une espèce de force et de vanité déplorable de nous écouter de sang-froid ?

Je ne sais si souvent vous jouez au piquet ; Mais au moins faites-vous des écarts admirables

1er médecin : Faites-vous des songes ? - Pourceaugnac : Quelquefois. - 1er médecin : De quelle nature sont-ils ? - Pourc. : De la nature des songes ; quelle diable de conversation est-ce là ?

Que faites-vous dehors, et quel soin vous talonne, Vous à qui je défends de parler à personne ?

Et on demande : qu'avez-vous pour vous faire plutôt croire que les autres ? quel signe faites-vous ? vous n'avez que des paroles, et nous aussi

À quel titre faites-vous cette réclamation ? De son sort qui t'a rendu l'arbitre ? Pourquoi l'assassiner ? qu'a-t-il fait ? à quel titre ?

Pourquoy en vous moquant me faites-vous ce tort De m'appeler squelette et lame de la mort ?

Il m'écrit qu'il n'est point du tout poëte ; je suis bien tenté de lui répondre, et pourquoi donc faites-vous des vers ? qui vous y oblige ?

Si vous voulez avoir un modèle de récitatif mesuré italien, avant Lulli, absolument dans le goût français, faites-vous chanter par quelque basse-taille le Sunt rosae mundi breves de Carissimi

Ô puissance éternelle ! Vous faites-vous un jeu des pleurs d'une mortelle ?