Citations sur moliere

Laissez-moi m'assouvir dans mon courroux extrême, Et laver mon affront au sang d'un scélérat

Votre esprit fait du bruit

Juste retour, monsieur, des choses d'ici-bas, Vous ne vouliez point croire, et l'on ne vous croit pas

Le corps, cette guenille, est-il d'une importance, D'un prix à mériter seulement qu'on y pense ?

Et n'est-ce pas sans doute un crime punissable De gâter méchamment ce fond d'âme admirable ?

Célimène : Le siècle s'encanaille furieusement ! - Élise : Celui-là est joli encore, s'encanaille ! Est-ce vous qui l'avez inventé, madame ? - Célimène : Hé ! - Élise : Je m'en suis bien doutée

Il a pris aujourd'hui, pour renfort de potage, un maître de philosophie

Comment ? ces noms étranges, ne sont-ce pas vos noms de baptême ?

Mais la princesse a voulu égayer sa dextérité, et de son dard qu'elle lui a lancé un peu mal à propos....

Vous m'avez envoyé des bas de soie si étroits, que j'ai eu toutes les peines du monde à les mettre, et il y a deux mailles de rompues. - Ils ne s'élargiront que trop. - Oui, si je romps toujours des mailles

Vous êtes dans une humeur désobligeante

Ainsi, n'ayant au coeur nul dessein pour Clitandre, Que vous importe-t-il qu'on y puisse prétendre ?

Je te prive, pendard, de ma succession, Et te donne de plus ma malédiction

Votre avocat ne se trouvera point lorsqu'on plaidera votre cause

J'avais bon nez, sans doute, et son voisinage déjà m'avait donné quelque soupçon

Un amour si tranquille excite mon courroux ; C'est aimer froidement que n'être point jaloux

Je veux faire le brave, et, s'il est assez sot pour me craindre, le frotter quelque peu

La, la.... hem, hem, écoute avec soin, je te prie

Essayez un peu, par plaisir, à m'envoyer des ambassades, à m'écrire secrètement de petits billets doux, à épier les moments que mon mari n'y sera pas

C'est un bon impertinent que votre Molière, avec ses comédies ; et je le trouve bien plaisant d'aller jouer d'honnêtes gens comme les médecins

Ah ! le détour est bon et l'excuse admirable !

Eh bien ! voilà encore de vos âneries !

Palsangué ! morguienne ! ça n'est pas bien de battre les gens

Ne m'allez pas tromper, je vous prie ; il y aurait de la conscience à vous, et vous voyez comme j'y vais à la bonne foi

Je vous dis que vous ne caressiez point nos accordées