Citations sur moliere

L'allégresse du coeur s'augmente à la répandre

Mon Dieu ! Monsieur de Sotenville, vous avez des indulgences qui n'appartiennent qu'à vous, et vous ne savez pas vous faire rendre par les gens ce qui vous est dû

Plus mon rang a d'éclat, plus l'affront est sanglant

La grasse est, dans son port, pleine de majesté

Mais vous seriez bien pris, si quelque événement Allait mettre à l'épreuve un si doux compliment

Et si, par un malheur, j'en avais fait autant, Je m'irais, de regret, pendre tout à l'instant. - Je ne vois pas pour moi que le cas soit pendable

Quel abus de quitter le vrai nom de ses pères Pour en vouloir prendre un bâti sur des chimères !

Monsieur, je viens saluer, reconnaître, chérir et révérer en vous un second père

Que le coeur d'une femme est mal connu de vous, Et que vous savez peu ce qu'il veut faire entendre, Lorsque si faiblement on le voit se défendre !

Si pour vous la retraite avait quelques appas

Et jamais de son coeur je n'aurai de pardon, Pour n'avoir pas trouvé que son sonnet fût bon

Ouais ! je ne croyais pas que ma fille fût si habile que de chanter ainsi à livre ouvert

Votre dîné pourtant serait prêt tout à l'heure

On disait autrefois bon vêpre : Je donne le bon vêpre à l'honorable compagnie

La joie que j'aurais de posséder une belle femme, qui me dorlotera, et me viendra frotter lorsque je serai las

Voyez que d'incidents à la fois enfantés !

Le travail [pour des chevaux] ne sera pas grand, d'aller jusqu'à la foire

Je mettrais toute mon étude à rendre ce quelqu'un jaloux

Le ciel parfois seconde un dessein téméraire

Faites-la sortir, quoi qu'on die, De votre riche appartement

Madame, êtes-vous morte ? Ouais ! elle ne dit mot

Et quand ses déplaisirs auront quelque allégeance, J'aurai soin d'en tirer d'abord votre assurance [votre reçu]

Pour te donner avis d'un secret important

Je dédaigne de m'amuser à ce menu fatras de maladies ordinaires.... à ces fiévrottes

Je veux être maître absolu