Citations sur moliere

Dans tous les entretiens on les voit s'introduire ; Ils ne sauraient servir, mais ils peuvent vous nuire

Je soutiendrai toujours, morbleu ! qu'ils [des vers] sont mauvais, Et qu'un homme est pendable après les avoir faits

Le grand déplaisir que sent monsieur mon maître [à l'occasion de la mort de son père]

Le chagrin me paraît une incommode chose ; Je n'en prends point pour moi sans bonne et juste cause ; Et mêmes à mes yeux cent sujets d'en avoir S'offrent le plus souvent que je ne veux pas voir

Il faut premièrement que vous ayez le fouet pour avoir menti

Non, je ne prétends plus demeurer engagé Pour un coeur où je vois le peu de part que j'ai

Vous êtes d'une pâte à vivre jusques à cent ans

Que vos chevaux [les chevaux de la Nuit], par vous au petit pas réduits, D'une nuit si délicieuse Fassent la plus longue des nuits

Entraîné par ses appas, je l'ai suivie jusqu'en cette ville

Le rebut de madame est une marchandise Dont on aurait grand tort d'être si fort éprise

Et je sais encor moins comment votre cousine Peut être la personne où son penchant l'incline

Il n'a pas aperçu Jeannette

Malheureux que je suis d'avoir dessous ce masque Été, sans y penser, te faire cette frasque

Ton extrême rigueur S'acharne sur mon coeur

Oui moi, non pas le moi d'ici, Mais le moi du logis qui frappe comme quatre

Et la moindre faveur d'un coup d'oeil caressant Nous rengage de plus belle

La rime n'est pas riche, et le style en est vieux [d'une chanson]

Ce sont des bergers amoureux qui se découvrent l'un à l'autre la cruauté de leurs maîtresses

Un débauché, un traître, qui me mange tout ce que j'ai !

Oui, vous ne pourriez pas lui dire davantage Que ce que je lui dis pour le faire être sage

Ses doigts, tout pleins de lait et plus blancs mille fois, Pressaient les bouts du pis d'une grâce admirable

Puisque cela vous incommode, je rengaine ma nouvelle, et m'en retourne droit comme je suis venu

Voilà une furieuse impudence que de nous envoyer quérir

Nous disputons qui est le marquis de la Critique de Molière ; il gage que c'est moi, et moi je gage que c'est lui. - Et moi je juge que ce n'est ni l'un ni l'autre

Pourvu que ses transports, par l'honneur éclairés, N'offrent sur mes autels que des voeux épurés