Citations sur moliere

La jeune Dorimène fille du seigneur Alcantor avec le seigneur Sganarelle qui n'a que cinquante-trois ans ! ô le beau mariage !

Je fais le bien et le mal tour à tour, Je viens de là, vais là, j'appartiens à mon maître

Et le moindre entretien de la beauté qu'on aime, Lorsqu'il est défendu, devient grâce suprême

Sa grace et sa vertu sont de douces amorces Qui, pour tirer les coeurs, ont d'effroyables forces

Voulant dérober leur vie aux cruelles persécutions qui ont accompagné les désordres de Naples, et qui en firent exiler plusieurs nobles familles

Enfonce ton bonnet en méchant garçon, campe-toi sur un pied, mets la main au côté, fais les yeux furibonds

Je ne garde pour lui, monsieur, aucune aigreur

Quand il n'y aurait que votre barbe, c'est déjà beaucoup, et la barbe fait plus de la moitié d'un médecin

Veut-il qu'à l'étriller ma main un peu s'applique ?

Je suis Mercure Qui, ne sachant que faire, ai rossé tant soit peu Celui dont j'ai pris la figure

Ma bile s'échauffe

Monsieur, je vous demande pardon ; mais vous êtes si plaisant, que je ne saurais me tenir de rire

Je tiens cette comédie une des plus plaisantes que l'auteur ait produites

Choisir un gendre gueux... ? - Taisez-vous, s'il n'a rien, Sachez que c'est par là qu'il faut qu'on le révère

Je lui ai fait des hommages soumis de tous mes voeux

C'est un homme qui sait la médecine à fond, comme je sais ma croix de par Dieu

Ce sont des gens que je mène avec moi, et dont je me sers tous les jours pour pacifier, avec leur harmonie et leurs danses, les troubles de l'esprit

Oh ! trois ou quatre fois béni soit cet édit Par qui des vêtements le luxe est interdit

Il.... pense que louer n'est pas d'un bel esprit, Que c'est être savant que trouver à redire

Et comme la douleur un assez long espace M'a fait sans remuer demeurer sur la place

L'esprit du monde y vaut, sans flatterie, Tout le savoir obscur de la pédanterie

Vous pouvez choisir, ou de me donner Marianne, ou de perdre votre cassette

Vouloir ravaler la dignité de médecin à des emplois de cette nature ?

Mais, charmante Mariane, commençons, je vous prie, par gagner votre mère

Leur savoir à la France est beaucoup nécessaire