Citations sur moliere

Cela lui reprend de moment en moment, et je crois qu'elle ne passera pas la journée

L'affaire presse, et le plus tôt que vous pourrez sortir d'ici sera le meilleur

Allez, cuistre fieffé

En vous le produisant, je ne crains pas le blâme D'avoir admis chez vous un profane, madame

Et, loin qu'un pareil oui me donnât de la peine, Croyez que j'en dirais bien vite une douzaine

Votre maître de musique est allé aux champs, et voilà une personne qu'il envoie à sa place

Voici quelque souffleur, de ces gens qui n'ont rien, Et nous viennent toujours promettre tant de bien

Les filles sont quelquefois un peu têtues

Votre plus court sera, madame la mutine, D'accepter sans façon l'époux qu'on vous destine

Crois-moi, détache-toi de cette erreur extrême, Tu te flattes, mon cher, et t'aveugles toi-même

Si je savais chanter, J'en ferais bien mieux mes affaires

Pensez-vous qu'à choisir de deux choses prescrites, Je n'aimasse pas mieux être ce que vous dites ?

Et comme votre esprit a de grandes lumières

Qu'avions-nous affaire de vie, Si nous ne pouvions être à vous ?

Enfonce ton bonnet en méchant garçon

Et le mari benêt, sans songer à quel jeu, Sur les gains qu'elle fait rend des grâces à Dieu

Nous autres fourbes de la première classe, nous ne faisons que jouer, lorsque nous trouvons un gibier aussi facile que celui-là

Tantôt l'esprit ému d'une frayeur bien vive

Ne devez-vous pas rougir d'appuyer une passion qui n'est qu'erreur, que faiblesses et qu'emportement, et dont tous les désordres ont tant de répugnance avec la gloire de notre sexe ?

Et [je] ne suis point du tout pour ces prudes sauvages Dont l'honneur est armé de griffes et de dents

Mon Dieu ! quels amants sont-ce là ? et quelle sécheresse de conversation !

L'étoffe me sembla si belle que j'en ai voulu lever un habit pour moi

Il vous dira.... que, durant qu'il dormait, je me suis dérobée d'auprès de lui

Juge-nous un peu sur une gageure que nous avons faite

Non, en conscience, vous en [des fagots] payerez cela