Citations sur moliere

Sortez quand vous voudrez, messieurs ; mais j'avertis Que je ne sors qu'après que vous serez sortis

Depuis que je l'ai vu, trois quarts d'heure durant, cracher dans un puits pour faire des ronds, je n'ai pu prendre bonne opinion de lui

Chacun fait ici-bas la figure qu'il peut

Je m'en vais te bailler une comparaison

Célimène : Puis-je empêcher les gens de me trouver aimable ?... Dois-je prendre un bâton pour les mettre dehors ? - Alceste : Non, ce n'est pas, madame, un bâton qu'il faut prendre, Mais un coeur à leurs voeux moins facile et moins tendre

À ses lois je me trouve asservie

Au travers de son masque on voit à plein le traître ; Partout il est connu pour tout ce qu'il peut être

Donques, si le pouvoir de parler m'est ôté, Pour moi, j'aime autant perdre aussi l'humanité

Le grand déplaisir que sent monsieur mon maître [à l'occasion de la mort de son père]

Je trouve cela bien troussé ; il y a là dedans de petits dictons assez jolis

Si malgré ces raisons votre ennui persévère, Mon cher Lélie, au moins faites qu'il se modère

Et je ne sais pourquoi votre âme ainsi s'emporte, Madame, à me pousser de cette étrange sorte

Mille gens le sont bien, sans vous faire bravade, Qui de mine, de coeur, de biens et de maison Ne feraient avec vous nulle comparaison

La faisant tourner un peu devers lui

J'ai fait apporter ici quelques bassins d'oranges de la Chine, de citrons doux et de confitures

C'est un chef-d'oeuvre que d'avoir inventé un habit sérieux qui ne fût pas noir

C'est aux gens mal tournés, aux mérites vulgaires, à brûler constamment pour des beautés sévères

Qui, pour perdre quelqu'un, couvrent insolemment De l'intérêt du ciel leur fier ressentiment

Les marquis tantôt se lèveront, tantôt s'assoiront, suivant leur inquiétude naturelle

D'un coeur ardent, en tous lieux, Un amant suit une belle ; Mais d'un jaloux odieux La vigilance éternelle Fait qu'il ne peut que des yeux S'entretenir avec elle

Parbleu ! si grande joie à l'heure me transporte....

C'est à mon sentiment un endroit impayable

Je n'ai point sur ma langue un assez grand empire

Enfin j'ai vu le monde et j'en sais les finesses

Il n'a pas aperçu Jeannette, ma fillole, Laquelle a tout ouï, parole pour parole