Citations sur moliere

Comme si j'étais femme à violer la foi que j'ai donnée à mon mari et m'éloigner jamais de la vertu

Il a un père qui, quoique riche, est un avaricieux fieffé, le plus vilain homme du monde

Les épreuves que tout le monde a vues de l'infaillibilité de mes prédictions sont les cautions suffisantes des promesses que je puis faire

La délicatesse est trop grande de ne pouvoir souffrir que des gens triés

Tudieu ! comme avec lui votre langue cajole !

Je veux ce soir lui donner pour époux un homme aussi riche que sage ; et la coquine me dit au nez qu'elle se moque de le prendre

Allons, courons.... Assembler des amis qui suivent mon courroux

Nos yeux n'ont pas de mauvais desseins, et votre coeur peut dormir en assurance sur leur prud'homie

Les coups sur votre râble assenés avec joie

Lorsqu'elle vient me voir, je souffre le martyre ; Il faut suer sans cesse à trouver que lui dire

Je dois interpréter à charitable soin Le désir d'embrasser ma femme !

Tiens, c'est ici mon port, comme je te l'ai dit

Et votre galimatias ne m'a pas tantôt ébloui

Pour détromper ma soeur, et lui faire connaître Ce que son philosophe à l'essai pouvait être

Un certain Grec disait à l'empereur Auguste Que, lorsqu'une aventure en colère nous met, Nous devons, avant tout, dire notre alphabet, Afin que dans ce temps la bile se tempère

Je te soutiendrai mon opinion jusqu'à la dernière goutte de mon encre

Il n'est plus temps, madame, une autre a pris la place

Approchons cette table et vous mettez dessous. - Comment ? - Vous bien cacher est un point nécessaire

Voici bien des affaires

Tout le monde me prend pour un homme de bien ; Mais la vérité pure est que je ne vaux rien

C'est une étrange entreprise que celle de faire rire les honnêtes gens

Mon enfant, le bon Dieu puisse-t-il vous bénir, Et dans tous vos attraits longtemps vous maintenir

Et jouir de la couche et des embrassements D'un homme qui fuyait tous ces engagements

Ah ! tête ! ah ! ventre ! que ne le trouvé-je à cette heure avec tout son secours !

À votre aise vous en parlez, Et vous avez, la belle, une chaise roulante Où par deux bons chevaux, en dame nonchalante, Vous vous faites traîner partout où vous voulez