Citations sur moliere

Là jamais on n'entend de pieuses paroles ; Ce sont propos oisifs, chansons et fariboles

Mais si jamais mon bien te fut considérable, Répare mon malheur et me sois secourable

Il semble qu'il est en vie et qu'il s'en va parler

Je l'ai mis sur ce mariage

Quoi ! Martial fait-il des vers ? je croyais qu'il ne faisait que des gants

Je me suis doucement esquivé sans rien dire

Ah ! fortune, ce trait d'aventure propice Répare tous les maux que m'a faits ton caprice !

Cette déclaration est suivie d'un prompt courroux qui paraît à notre rougeur

Mais enfin cet abord ne permet plus de douter

Lorsque par les rebuts une âme est détachée, Elle veut fuir l'objet dont elle fut touchée

Pour cet Arménien, ce marchand déguisé, Introduit sous l'appât d'un conte supposé

Et qu'il eût mieux valu pour moi, pour mon estime, Suivre les mouvements d'une peur légitime

Malepeste du sot que je suis aujourd'hui !

Il m'a pris le ruban que vous m'aviez donné

Suis-je tortu ou bossu ?

Quand on a de l'amiquié pour les personnes, l'on en baille toujou queuque petite signifiance

Il me divertit avec sa voix, et tu m'étourdis avec ton caquet

Voilà une malade qui n'est pas tant dégoûtante, et je tiens qu'un homme bien sain s'en accommoderait assez

Votre Majesté a beau dire, et M. le légat et MM. les prélats ont beau donner leur jugement ; ma comédie, sans l'avoir vue, est diabolique, et diabolique mon cerveau

Je viens ici pour faire nos comptes ensemble

Vous venez m'amuser de vos belles paroles, Et conservez sous main des espérances folles

Plus on aime quelqu'un, moins il faut qu'on le flatte ; à ne rien pardonner le pur amour éclate

Je n'ai point un courroux à l'exhaler en paroles vaines

Et surtout quand les vers sont tournés galamment

À des offres d'hymen répondre par des larmes, Et tarder tant à dire un oui si plein de charmes