Citations sur moliere

Autant qu'il vous plaira, vous pouvez arrêter [rester], Madame, et là-dessus rien ne vous doit hâter

La cabale s'est réveillée aux simples conjectures qu'ils ont pu avoir de la chose

Votre coquine de Toinette est devenue plus insolente que jamais

C'est un parleur étrange, et qui trouve toujours L'art de ne vous rien dire avec de grands discours

Je saurai mettre une borne à tes déréglements

Vous verrez quelque chose de galant dans le petit ballet que nous avons ajusté pour vous

Mourons, c'est le parti qui seul me reste à suivre

Sosie : Ah ! ah ! c'est tout de bon. - Mercure : Non, ce n'est que pour rire, Et répondre à tes quolibets

Je vous ai vu que vous n'étiez pas plus grand que cela

S'il était si hardi que de me déclarer son amour, il perdrait pour jamais ma présence et mon estime

Chacun fait ici-bas la figure qu'il peut, Ma tante ; et bel esprit, il ne l'est pas qui veut

Je retranche mon chagrin aux appréhensions du blâme qu'on pourra me donner

Quand il vous plaira, je vous donnerai le divertissement de courre un lièvre

Cependant on vous voit une morne tristesse, Alors que dans vos yeux doit briller l'allégresse

On sait que ce pied-plat... par de sales emplois s'est poussé dans le monde

Un trait hardi qu'a fait cette jeune beauté, Et qu'on n'attendait pas de sa simplicité

Mon frère, vous seriez charmé de le connaître [Tartufe], Et vos ravissements ne prendraient point de fin

Manquez un peu, manquez à le bien recevoir

La chose en est aux termes de n'en plus faire de secret

Il n'a jamais été ce qu'on appelle mièvre et éveillé

Cette chanson me semble un peu lugubre ; elle endort, et je voudrais que vous la pussiez un peu ragaillardir par-ci par-là

Descendons-nous tous deux que de bonne bourgeoisie ?

Nous avions comme il faut séparé nos relais Et déjeunions en hâte avec quelques oeufs frais

M. Jourdain : Lorsque je hante la noblesse, je fais paraître mon jugement ; et cela est plus beau que de hanter votre bourgeoisie. - Mme Jourdain : Çà mon vraiment, il y a fort à gagner à fréquenter vos nobles

Mon frère, ce discours sent le libertinage