Citations sur moliere

Elle se défend du nom, mais non pas de la chose

Parbleu ! je viens du Louvre, où Cléante au levé, Madame, a bien paru ridicule achevé

J'enrage de voir de ces gens.... qui, dans une comédie, se récrieront aux méchants endroits, et ne branleront pas à ceux qui sont bons

Monsieur, je vous demande pardon ; mais vous êtes si plaisant, que je ne saurais me tenir de rire

À m'acquitter vers toi d'une telle promesse

Puisqu'on [Orgon] ne veut point croire à tout ce qu'on [Elmire] peut dire, Et qu'on [Orgon] veut des témoins qui soient plus convaincants ; Il faut bien s'y résoudre et contenter les gens

[Les madrigaux] C'est mon talent particulier, et je travaille à mettre en madrigaux toute l'histoire romaine

Quiconque remuera, par la mort, je l'assomme !

Que dois-je faire ? quelle résolution prendre ? à quel remède recourir ?

Je n'en puis revenir, et tout ceci m'assomme

Si Lélie a pour lui l'amour et sa puissance, Andrès pour son partage a la reconnaissance, Qui ne souffrira point que mes pensers secrets Consuitent jamais rien contre ses intérêts

Vivez, vivez contente, et bravez ma mémoire Avec le digne époux qui vous comble de gloire. - Oui, traître, j'y veux vivre

Les querelles, procès, faim, soif et maladie Troublent-ils pas assez le repos de la vie, Sans s'aller de surcroît aviser sottement De se faire un chagrin qui n'a nul fondement ?

Laissons-nous aller de bonne foi aux choses qui nous prennent par les entrailles, et ne cherchons point de raisonnement pour nous empêcher d'avoir du plaisir

Me ramassant tout entier en moi-même, J'ai conçu, digéré, produit un stratagème, Devant qui tous les tiens, dont tu fais tant de cas, Doivent, sans contredit, mettre pavillon bas

Te tairas-tu, serpent, dont les traits effrontés... ?

Quelque baissement de tête, un soupir mortifié, et deux roulements d'yeux rajustent dans le monde tout ce qu'ils [les hypocrites] peuvent faire

Il se faut bien égosiller avec vous autres

Non, mais il faut sans cesse Garder le décorum de la divinité

Les marquis tantôt se lèveront, tantôt s'assoiront, suivant leur inquiétude naturelle

Ce serait chose plaisante si les malades guérissaient et qu'on m'en vînt remercier

Il faut que je l'appelle et mon coeur et ma mie

Ma jalousie, à tout propos, Me promène sur ma disgrâce ; Et plus mon esprit y repasse, Moins j'en puis débrouiller le funeste chaos

Et le triste succès de tout ce qu'il m'adresse M'efface son offense et lui rend ma tendresse

J'avais songé une comédie où il y aurait eu un poëte... qui serait venu pour offrir une pièce à une troupe de comédiens nouvellement arrivés de la campagne