Citations sur la boÉtie

Qu'on mette d'un costé cinquante mille hommes en armes, d'un autre autant

Voyla beau coude, ce dit quelqu'un. Bel estil vrayement, dit elle, mais non pas pour demeurer en veuë

Platon advertissoit les vieux d'avoir honte des jeunes, à fin que les jeunes se maintinssent en leur endroit avec honte et reverence

C'est à elle de faire la revue de tout ce qui est, comme à un couronnel de la faire de ses compaignies

Qu'il [un roi] les face [vos fils] les ministres de ses convoitises, les executeurs de ses vengeances

Les luisans images de livres illuminez

Le masle et femelle ne cerchent seulement leur estre, mais aussi de s'ayder l'un l'autre

Un sommier pesle mesle avec un soldat, le bagage, la cavallerie legiere, l'homme d'armes, une charrette, tout l'un parmy l'autre

Mais comme on dit, pour fendre le bois, il se fait des coings du bois mesme

L'honneur n'a point de si derniere place, Que des plus grands desirer ne se face

De vray il est parfois que j'ay grand'pitié de toy

A il jamais esté que les tyrans, pour s'asseurer, n'aient... ?

Oh ! l'ay je dit ? helas ! l'ay je songé, Ou si pour vray j'ay dit blaspheme telle

Qu'il les face les ministres de ses convoitises, les executeurs de ses vengeances

Si ne veux je pas pour ceste heure debatre ceste question tant pourmenée, assçavoir si....

Cresus, ce tant riche roy

Que sera-ce si nous commençons de labourer la terre l'hiver ?

Vous nourrissez vos enfants, afin qu'il [le tyran] les mene, pour le mieulx qu'il face, en ses guerres

[L'éléphant] s'estant defendu jusques à n'en pouvoir plus, n'y voyant plus d'ordre, .... casse ses dens contre les arbres

Un Seneque, un Burre, un Trazée, ceste terne de gens de bien....

J'ay un livre toscan dont la tranche est garnie richement d'or battu de l'une et l'autre part

Elle monta mille fois les degrés D'une grand' tour qui descouvroit la plaine, Et les forests et chemins qu'elle pense Qu'on peut venir à Montaulban de France

Qui le croiroit, s'il ne faisoit que l'ouïr dire et non le veoir ?

Pour obeir à un clin de tes yeux, Je tournerois dessus dessous les cieux

Le couronnel des compaignies