Citations sur jean de la fontaine

La tanche rebutée, il trouva du goujon ; Du goujon, c'est bien là le dîner d'un héron !

L'aigle fondant sur lui nonobstant cet asile

Et l'autre [charlatan] affiche par la ville Qu'il est un passe-Cicéron

Bien est-il vrai qu'auprès d'une beauté Paroles ont des vertus nonpareilles

Rien n'est si dangereux qu'un ignorant ami ; Mieux vaudrait un sage ennemi

L'édifice résiste et dure en son entier : Après un lit de bois est un lit de mortier ; Chaque castor agit ; commune en est la tâche

Messire loup vous servira, S'il vous plaît, de robe de chambre

...La trop dolente mère Fit dans l'abord force larmes couler

Un pauvre bûcheron, tout couvert de ramée

Cette fureur mit la compassion Dans les esprits d'une autre nation [les pigeons] Au cou changeant, au coeur tendre et fidèle

Le malheur fut qu'elle était trop jeunette

Concluons que la Providence Sait ce qu'il nous faut mieux que nous

L'onde était transparente ainsi qu'aux plus beaux jours : Ma commère la carpe y faisait mille tours Avec le brochet son compère

L'amour est nu, mais il n'est pas crotté

Mais le moindre grain de mil Serait bien mieux mon affaire

Et vous, divinités aux hommes bienfaisantes, Qui tempérez les airs, qui régnez sur les plantes

Car avec rien on montait un ménage

Je le souffre aux écrits qui passent pour chanson

On voyait en lointain une ville naissante

Un jour qu'ils étaient en devis

Ce cas n'arrive pas quelquefois en cent ans ; C'est le non-plus-ultra de la fauconnerie

Eh bien ! défendez-vous au sage De se donner des soins pour le plaisir d'autrui ?

Un pauvre bûcheron tout couvert de ramée, Sous le faix du fagot aussi bien que des ans Gémissant et courbé, marchait à pas pesants

Tout cet orgueil [du coq vainqueur] périt sous l'ongle du vautour

De pareilles erreurs Ne produisent jamais que d'illustres malheurs