Citations sur victor hugo

Quand sur le flot sombre et grossi Je risquai ma nef insensée, Moi je cherchais un monde aussi

J'ai dit à notre abbé : messire, Priez bien pour tous nos soldats

Vous êtes, ô vallon, la retraite suprême, Où nous avons pleuré, nous tenant par la main

Parmi les fleurs J'entends les gais pinsons et les merles siffleurs

Vous aimez madame et ses yeux noirs, Vous y venez mirer les vôtres tous les soirs

Les nécromants parés de tiares mystiques Où brillent flamboyants les mots cabalistiques

La flamme des vaisseaux empourpre la voilure

Pour eux [les poëtes] rien n'est muet, rien n'est froid, rien n'est mort

Tout rentra dans la nuit des siècles révolus

Ces têtes couronnaient, sur les créneaux rangées, Les terrasses de rose et de jasmin en fleurs

Chandelier de fer, que la brume estompe

Nous entendrons.... Ces millions de morts, moisson du Fils de l'homme, Sourdre confusément dans leurs sépulcres, comme Le grain dans le sillon

Sur mon passé rien ne surnage Des vains rêves de mon jeune âge

.... La poussière des cascatelles Seule a mouillé son luth [d'Horace] de myrtes couronné !

J'habitais au milieu des hauts pignons flamands

Tandis que la foule Autour de lui roule, Satan joyeux foule L'autel et la croix

Qu'il ait sa belle esclave aux paupières arquées

Au frais ondin s'unit l'ardente salamandre

Les muets bigarrés armés du noir cordon

Alors tout s'éteignit, flammes, rires, phosphore, Tout, et le lendemain on trouva dès l'aurore Les deux gens d'armes morts sur la statue assis

Les courants ont lavé le sable ; Au soleil montent les vapeurs, Et l'horizon insaisissable Tremble et fuit sous leurs plis trompeurs

Ce saint homme, Qui m'assomme De latin

Toujours plane une brume Sur cette mer....

Nous voulions tous deux à la fois Doubler le même promontoire

On voyait par moments errer dans la futaie De beaux cerfs qui semblaient ...