Citations sur bÉrang.

Tant par vous truis [je vous trouve] toz tens sauvage et dure

À messieurs les polichinelles Il dit : Vous en voulez, en vlà !

Ne souffrons pas qu'elle bourdonne, Qu'elle bourdonne autour de nous

Chut ! me dit-on, c'est un vrai sage, Qui dans les cours a fait naufrage

J'enflamme un campagnard grison, Je suis cruelle et celui-là m'épouse

Parce qu'il court et va partout [l'homme], Ce pantin se croit libre

Nul front sinistre ; Propos de cuistre, Airs de ministre N'y sont point permis

Au dire du proverbe ancien L'amitié ne remonte guère ; Bon petit-fils, je n'en crois rien Quand je pense à vous, ma grand'mère

Molière a terminé sa vie Entre deux soeurs de charité

En avant ! partons, camarades, L'arme au bras, le fusil chargé

Malheureusement je n'ai pas l'amour des sinécures....

Le clinquant ne vous convient plus, J'ai cinquante écus de rente

Nous voyons à ses pieds [du Temps] rapides La poudre des siècles passés

Si ma conscience est nette, Ma bourse l'est encor plus

Béni sois-tu, vin détestable ! Bien qu'au maître de ce banquet Des flatteurs vantent ton bouquet

Au bruit d'une aigre trompette Le sabbat a commencé

Venait l'hiver, le bois manquait à l'âtre

Les limiers de la police Sont à craindre en ce moment

Oui, d'abord vivant de nos miettes, Il [l'homme] prit de nous [singes] l'art des cueillettes

Un maître fou qui, dit-on, Fit jadis mainte fredaine, Des loges de Charenton S'est enfui l'autre semaine

Jeune, gentille et bien faite, Elle est fraîche et rondelette

À son doux tic-tac [du tourne-broche] un jour les partis Signeront la paix entre deux rôtis

Chamarré de vieux oripeaux, Ce roi, grand avaleur d'impôts, Marche entouré de ses fidèles

Vous ne trouvez le laurier bon Que pour la sauce et le jambon

S'il est un plaisir qu'il n'ait pas, C'est qu'au marché ce plaisir manque