Citations sur bÉrang.

Je fus bercé par tes faiseurs De vers, de chansons, de poëmes

Rose, partons ; voici l'aurore ; Quitte ces oreillers si doux

Des fleurs de votre teint Où faites-vous emplette ?

Arrachez-moi des fanges de Lutèce ; Sous un beau ciel mes yeux devaient s'ouvrir

Le Russe.... Las de pain noir et de gland Veut manger notre pain blanc

Croyez-moi, beautés monarchiques, Le mot vertu dans vos caquets, Ressemble aux grands noms historiques, Que devant vous crie un laquais

Mes amis, J'ai soumis L'enfer à ma puissance ; De son obéissance J'ai pour gage certain Un lutin

[Le portrait du roi d'Yvetot] C'est l'enseigne d'un cabaret Fameux dans la province

Quel est sur moi le froid qui tombe ? C'est le froid du soir de mes jours ; Promettez un rêve à ma tombe ; Muses, restez ; restez, amours

Passez les mots aux rieurs, Les plus gros sont les meilleurs

Robert, enfant de mon village, Retourne garder tes moutons

Oui, sur Probus, prince équitable, Il [le vin] nous souffle un chorus flatteur

N'entend-on pas le qui-vive des gardes, Qui se mêle au cri des verrous ?

L'un veut guider le corbillard, Et l'autre d'un ton nasillard Me psalmodie une prière

Au peuple en butte à nos larcins, Tout grimoire En peut faire accroire

D'autres buveurs, francs, militaires, Chantent l'amour à pleine voix

À tout gâteau leur main fait large entaille, Car ils sont grands, même infiniment grands

Dans la soupente d'un portier, Je naquis au rez-de-chaussée

L'amitié.... Ne sera plus un froid discours Dont l'infortune rompt le fil

L'amour a peur des grand'mamans

L'État ayant plus d'un membre Que la presse eût fait trembler

Quoi ! ces monuments chéris, Histoire De notre gloire, S'écrouleraient en débris ?

Mes jeunes rivaux, ma chère, Ont un ciel si gai ! Chez eux la rose foisonne, Chez moi le souci

Ah ! la muse de Collé, C'est la gaudriole ô gué ! C'est la gaudriole !

Contre l'humeur qui nous irrite Quels antidotes souverains [que les chansons] !