Citations sur bÉrang.

Je fus bercé par tes faiseurs De vers, de chansons, de poëmes

Faire un doux emploi de son être, Mes amis, ce n'est pas vieillir

M'endormais-je un peu sur ma chaise, Il entonnait la Marseillaise

Il a pour guide une fillette

Quand la goutte l'accable Sur un lit délabré

Soudain la terre entend des voix nouvelles, Maint peuple errant s'arrête émerveillé

. Et tout renaît, et déjà l'aubépine A vu l'abeille accourir à ses fleurs

J'en fais voir le chaton [d'un jonc], C'est du faux, me dit-on

Leste et joyeux je montais six étages ; Dans un grenier qu'on est bien à vingt ans !

Vous vieillirez, ô ma belle maîtresse, Vous vieillirez et je ne serai plus

Mais jusqu'à sa dernière aurore, En buvant frais, s'épanouir, Mes amis, ce n'est pas vieillir

Pour l'étouffer [la liberté] en vain la tyrannie Fait signe au nord de déborder sur nous

Pour recoudre à fond mes goussets, J'aurais dû prendre à son décès Les aiguilles de mon grand-père [un tailleur]

Taisez-vous, Vous sentez le vin et la fille

Rabelais, ce fou si sage, Lui légua par parenté Un capuchon dont l'usage En fait un sage en gaîté

Nous nous aimions sans nous connaître ; Nos baisers se croisaient dans l'air

Au hasard, alors ces matrones [les Parques] Faisant deux lots de notre temps

Depuis dix ans je te brosse moi-même, Et Socrate n'eût pas mieux fait

En philosophe, hier sur l'oreiller, J'ai mis mon âme en train de babiller

Chamarré de vieux oripeaux, Ce roi, grand avaleur d'impôts, Marche entouré de ses fidèles

Près du trône si tu grandis, Si je végète sans puissance....

Je croyais qu'on allait faire Du grand et du neuf, Même étendre un peu la sphère De quatre-vingt-neuf ; Mais point ! on rebadigeonne Un trône noirci

Lanterne en main, dans l'Athènes moderne Chercher un homme est un dessein fort beau

Enivrons-nous de poésie, Nos coeurs n'en aimeront que mieux

Gens vêtus d'or et d'écarlate, Pendant un mois chacun vous flatte