Citations sur bÉrang.

On te déchire [mon habit], et cet outrage Auprès d'elle [Lise] enchaîne mes pas

D'un trait méchant se montra-t-il capable ?

Au ventre toujours fidèle, J'ai pris, suivant ma leçon, Place à dix pas de Villèle

Dans son fourneau rien qu'il [le chimiste] ne jette

De ce couple qui s'aime Livrons la vie au sarcasme des cours

Sages et fous, gueux et monarques, Apprenez un fait tout nouveau

Qui, je dormais sur un petit volume Qui me vaudra d'être encore étrillé

En philosophe, hier sur l'oreiller, J'ai mis mon âme en train de babiller

Ton sexe faible est oublieux des crimes ; Mais, dans ces murs ouverts à tant de peurs, N'entends-tu pas des ombres de victimes Mêler leurs cris à tes soupirs trompeurs ?

Aux jeunes gens racontes-en l'histoire [des trois journées de juillet] ; Guide leur nef, instruis-les de l'écueil ; Et, de la France un jour font-ils l'orgueil, Va réchauffer ta vieillesse à leur gloire

Gens vêtus d'or et d'écarlate, Pendant un mois chacun vous flatte

Las ! j'épousai bien jeune encor La liberté, dame un peu rude

Pour ma part moi j'en réponds, Oui, poulettes, Oui, coquettes....

Un coffre et rien dedans, Eh gai c'est la richesse Du gros Roger Bontemps

Troubadours et trouvères Aux nez des rois vidaient gaîment leurs verres

Vingt fois pour vous [plaisirs] j'ai mis ma montre en gage

Peins-nous ses feux [de Tibère] qu'en secret tu redoutes, Quand sur ton sein il cuve son nectar

Les anciens préjugés renaissent ; On va quitter les pantalons

Ainsi toujours il prend l'heure qui sonne Pour un signal de son beffroi

Je le dis sans blesser personne, Notre âge n'est pas l'âge d'or

Le Russe.... Las de pain noir et de gland, Veut manger notre pain blanc

Il [l'homme] prend nos amours pour modèles ; Mais nos guenons nous sont fidèles

Oh ! qu'ils sont loin ces jours si regrettés ! J'échangerais ce qu'il me reste à vivre Contre un des mois qu'ici Dieu m'a comptés

L'enfer mugit d'un effroyable rire

À Madrid si j'ai vendu cher, Et cher à Moscou même, J'ai donné gratis à Pantin