Citations sur bÉrang.

L'épouse veut encor Fuir l'époux qui l'embrasse ; Mais sur plus d'un trésor Le fripon fait main basse

Vin.... Tu disparais, et sous nos yeux Mousse un nectar digne des dieux

Que dis-je ? hélas ! oui, la terre s'éveille, Belle et parée au souffle du printemps

Quel est sur moi le froid qui tombe ? C'est le froid du soir de mes jours

Mon fils, dit-il, tout sceptre est un grand poids : Sois mon second, prends la férule

Oui, je dormais sur un petit volume Qui me vaudra d'être encore étrillé

De leur humeur mélancolique Ils [les noirs] sont tirés par des pantins

En refaisant des noeuds à ses lanières, Il [Grippe-Minaud] me poursuit encor d'un oeil sournois

Béni sois-tu, vin détestable ! Pour moi tu n'es point redoutable

Ainsi toujours il prend l'heure qui sonne Pour un signal de son beffroi

Mais vivre en tout d'économie, Moins prodiguer et mieux jouir.... Mes amis, ce n'est pas vieillir

La liberté m'enchante, Mais j'ai grand appétit

Vous, messieurs, qui, le nez au vent, Nobles par votre boutonnière, Encensez tout soleil levant

D'impurs ruisseaux, gonflés par nos orages, Font déborder cet égout des Tarquins [la cour]

À moins de douze couplets, Au diable une chansonnette

Ce n'est point pays limitrophe [St-Domingue], Mais le mal fait tant de progrès ; Princes, vengez ce bon Christophe, Roi digne de tant de regrets

Mais pourquoi sur ma couchette Rêver à ce jeune fou ?

Quand la paix répand son baume Sur les maux qu'on endura

.... Il ne levait de ban Que pour tirer quatre fois l'an Au blanc

Quand près d'eux [moissonneurs] la glaneuse habile Cherche l'épi des malheureux

Moi bien portant, quoi ! vous pensez d'avance à m'ériger une tombe à grands frais

Ma filleule, où diable a-t-on pris Le pauvre parrain qu'on vous donne ?

La gaudriole qu'on exile Doit refleurir sur son terrain

Au poids de nos fers il [l'amour] ajoute, Elle [l'amitié] nous aide à les porter

La nuit a ralenti les heures ; Le sommeil s'étend sur Paris