Citations sur bÉrang.

Qu'il va lentement le navire à qui j'ai confié mon sort !

Le char de l'opulence M'éclabousse en passant

Mais, que vois-je ! de bons amis Que rassemble un couvert bien mis

Oui, mais j'aperçois des réseaux ; En cage on mettra les oiseaux

Mais bien que la douleur honore, Que servira d'avoir gémi ? Puisqu'ici nous rions encore, Autant de pris sur l'ennemi

Captif au rivage du Maure, Un guerrier, courbé sous ses fers, Disait : je vous revois encore, Oiseaux ennemis des hivers ; Hirondelles que l'espérance Suit jusqu'en ces brûlants climats, Sans doute vous quittez la France ; De mon pays ne me parlez-vous pas ?

Jeté sur cette boule, Laid, chétif et souffrant, Étouffé dans la foule, Faute d'être assez grand

Vingt fois pour vous [plaisirs] j'ai mis ma montre en gage

Pierrots et paillasses, Beaux esprits cocasses, Charment sur les places Le peuple ébahi

Malheureusement je n'ai pas l'amour des sinécures....

Lanterne en main, dans l'Athènes moderne Chercher un homme est un dessein fort beau

Foin des mécontents ! Comme balayeuse on me loge, Depuis quarante ans, Dans le château, près de l'horloge

Que nos portes restent closes, Et jusqu'au retour des roses Chauffons-nous, chauffons-nous bien

Ils ont des titres, et, je crois, Des crachats et même des croix

Béni sois-tu, vin détestable ! Bien qu'au maître de ce banquet Des flatteurs vantent ton bouquet

Monsieur Judas est un drôle Qui soutient avec chaleur Qu'il n'a joué qu'un seul rôle

En philosophe, hier sur l'oreiller, J'ai mis mon âme en train de babiller

Un homme enfin sort de nos rangs ; Il dit : je suis le dieu du monde. L'on voit soudain les rois errants Conjurer sa foudre qui gronde

Jeune oiseau prenez l'essor, Égayez le bocage

L'aveu que ma bouche octroya Mit les droits de l'homme à quia

En joyeux gourmands que nous sommes, Nous savons chanter un repas

Encore une étoile qui file ?... Mon enfant, quel éclair sinistre ! C'était l'astre d'un favori Qui se croyait un grand ministre Quand de nos maux il avait ri

Pour qu'un jour, mignonne, j'aille Où les anges font leurs nids

Feu d'artifice éteint par une averse

La presse abat les murs de la patrie, Et Dieu nous dit : peuples, fraternisez