Citations sur corneille

Juge, Araspe, où j'en suis, s'il veut tout ce qu'il peut

Un moment pousse et rompt un transport violent ; Mais l'indignation qu'on prend avec étude, Augmente avec le temps, et porte un coup plus rude

Quel mal nous fait sa vie ?

Ce n'est que la douleur qui lui coupe la voix

Prenez donc en ces lieux liberté tout entière

Grâces aux dieux, Cinna, ma frayeur était vaine

Et l'on pourrait donner à la nécessité Ce qui n'est qu'un effet de la légèreté

Madame, croyez-moi, vous serez excusable D'avoir moins de chaleur contre un objet aimable

Mais enfin elle est reine, et cette dignité Semble exiger de nous quelque civilité

Théodore, parlez sans vous épouvanter

Je sens déjà mon coeur qui pour lui s'intéresse

Maurice, à quelque espoir se laissant lors flatter, S'en ouvrit à Félix qui les vint visiter

J'y vais tout de ce pas

Au vôtre [nom] elle a rougi, puis s'est mise à sourire

J'ai permis à fort peu de lui rendre visite

Voyez couler nos pleurs sans y mêler vos larmes

Plusieurs y sont trompés, et leur fausse lumière Trouve le précipice au bout de la carrière

Tu descends quelquefois avec telle abondance Qu'après l'âme remplie un doux regorgement En répand sur le corps le rejaillissement

Il faut [au théâtre] placer les actions où il est plus facile et mieux séant qu'elles arrivent

Du doux pays de nos aïeux Serons-nous toujours exilées ?

Eh bien ! vous le voulez, il faut vous satisfaire, Il faut affranchir Rome, il faut venger un père, Il faut sur un tyran porter de justes coups

Il apprendrait à vaincre en me regardant faire

Voiles, crêpes, habits, lugubres ornements

Enfin avec douceur tâchez de la réduire à venir dans le camp, à s'y laisser conduire

Je vous dirais, seigneur (car ce n'est plus à moi à nommer autrement et mon juge et mon roi)