Citations sur corneille

Votre péril croîtrait, et je serais perdue

Le prêtre avait à peine obtenu du silence, Et devers l'Orient assuré son aspect....

Et n'y voyant qu'un tronc dont la tête est coupée

Mets enfin quelque borne au mal qui me possède

Et contre ma douleur j'aurais senti des charmes, Quand une main si chère eût essuyé mes larmes

Mais s'il arrive enfin que Laodice m'aime

Assez et trop longtemps l'arrogance de Rome A cru qu'être Romain c'était être plus qu'homme ; Abattons sa superbe avec sa liberté

Si l'absolu pouvoir d'une pudique flamme....

Elle a soif de mon sang, elle a voulu l'épandre

Cette pièce fut mon coup d'essai, et elle n'a garde d'être dans les règles, puisque je ne savais pas alors qu'il y en eût

Du nom de dictateur, du nom de général, Qu'importe, si des deux le pouvoir est égal ?

Et même à ses Romains ne daigne repartir Que d'un regard farouche et d'un profond soupir

J'eus le sang un peu chaud et le bras un peu prompt

L'obéissance que nous devons aux règles de l'unité, de jour et de lieu, nous dispense alors du vraisemblable, bien qu'elle ne nous permette pas l'impossible

Souviens-toi.... Que tu me dois ton coeur, que mes faveurs t'attendent

Chimène : Va, je ne te hais point. - Rodrigue : Tu le dois. - Chimène : Je ne puis

Et par un beau trépas couronne un beau dessein

Dieux ! que vous me gênez par cette défiance ! - Pour subsister en cour c'est la haute science

Sans doute vos chrétiens qu'on persécute en vain Ont quelque chose en eux qui surpasse l'humain

Même de vos rivaux la gloire vous est chère

Je ne me vante pas de pouvoir le fléchir

Mes peuples aguerris sous votre discipline

Sous l'habit de Didyme elle-même est sortie

Laisse aller tes soupirs, laisse couler tes larmes

Vous montrez cependant un peu bien du mépris