Citations sur corneille

Ces mêmes dieux à Tulle ont inspiré ce choix

Il semblait nous parler de son proche hyménée

Plutôt, plutôt la mort, que mon esprit jaloux Forme des sentiments si peu dignes de vous

Vous vous échapperez sans doute en sa présence

Suivant les sentiments dont vous êtes capable....

Cette affreuse sueur qui court sur son visage

Ô soupirs ! ô respect ! ô qu'il est doux de plaindre Le sort d'un ennemi quand il n'est plus à craindre !

Enfin, autour de lui ses troupes ralliées

Les plus grands déplaisirs sont les moins éclatants

Et je puis dans son sein enfoncer un poignard !

Il est nouveau venu des universités

Préparez-vous à voir vos pays désoles

Que les dieux t'ont promis l'empire de la terre, Et que tu n'en peux voir l'effet que par la guerre

Et cet affreux devoir dont l'ordre m'assassine

Elle n'a que fureur et que vengeance en l'âme ; Mais, en si peu de temps, que peut faire une femme ? Je n'ai prescrit qu'un jour de terme à son départ

.... Leur concorde impie, affreuse, inexorable

Et je vous consolais au milieu de vos plaintes, Comme si notre Rome eût fait toutes nos craintes

Quel sujet si pressant à sortir vous convie ?

Sur l'éclat d'un beau teint qu'on voit si périssable

Ce nécessaire qu'il faut préférer au vraisemblable [dans une pièce de théâtre], ou, pour parler plus juste, qu'il faut ajouter au vraisemblable dans la liaison des actions et leur dépendance l'une de l'autre

Je ne puis dire tant de bien de celle-ci [de cette pièce] que de la précédente

Qui ne serait touché d'un si tendre spectacle ?

Qui veut tenir aux fers les maîtres de la terre

Un tissu de cheveux Que reçut Don Fernand pour arrhes de mes voeux

S'il [César] les vainc [ses ennemis], s'il parvient où son désir aspire