Citations sur corneille

Cependant, même quand le mot commence par une consonne, la poésie peut préférer mol à mou : L'affront que m'eût fait ce mol consentement

Et l'on ignore encor parmi ses ennemis L'art de reprendre un fort qu'une fois il a pris

Un passant inconnu touché de cette enfance Dont un astre envieux condamnait la naissance

Sur la légèreté d'une croyance si peu raisonnable, il renonce à une affection dont il était assuré et qui était prête d'avoir son effet

Enfin je me vois libre et je puis sans contrainte De mes vives douleurs te faire voir l'atteinte

J'ai couru sur le lieu sans force et sans couleur

Pour me faire chrétien, sers-moi de guide à l'être

L'une au desçu des siens te montre son ardeur

Et vous n'ignorez pas combien cela me pique

Regarde-le plutôt pour exciter ta haine, Pour croître ta colère et pour hâter ma peine

Parmi ce grand amour que j'avais pour Sévère

Aux esprits les plus nets et les plus éclairés

Jusque-là réprimez ces transports violents

Et quiconque peut tout, est aimable en tout temps

La moitié de tes gens doit occuper la porte ; L'autre moitié te suivre et te prêter main-forte

L'ennemi qui flatte est le plus dangereux

Il m'a donnée à vous, et nul autre que moi N'a droit de l'en dédire et me choisir un roi

J'ai cru honteux d'aimer quand on n'est plus aimable

[Il] Met l'épée à la main, tourne en fuite le reste

Et je garde, au milieu de tant d'âpres rigueurs, Mes larmes aux vaincus et ma haine aux vainqueurs

Mais hâtez-vous de grâce, et faites bien ramer, Car déjà sa galère a pris le large en mer

....vous avez fait le dû de votre office

Grâces à ma victoire, on me rend des hommages

Vous avez habitude avec ce cavalier

Choisissez-lui, Lépide, un digne appartement