Citations sur corneille

Un père à qui le sang l'attache

Et l'ordre du destin qui gêne nos pensées N'est pas toujours écrit dans les choses passées

Le péril dont Rodrigue a su nous retirer, Et le salut public que vous rendent ses armes

Du levant au couchant, du More jusqu'au Scythe, Les peuples vanteront et Bérénice et Tite

Ne fais point d'autre crime, et j'atteste les dieux Qu'au lieu de t'en haïr, je t'en aimerai mieux

Je parlais pour l'aigrir, et non pour me défendre

Ma désobéissance est ce que vous vouliez

N'importe, servons-la, méritons son amour

Prince, n'y pensez plus [à Laodice], si vous pouvez m'en croire

Qu'aisément l'amitié jusqu'à l'amour nous mène ! C'est un penchant si doux qu'on y tombe sans peine

Il doit savoir qu'un jour il me fera raison D'avoir réduit mon maître [Annibal] au secours du poison

Enfin je me vois libre et je puis sans contrainte De mes vives douleurs te faire voir l'atteinte

Il [l'amour] entre avec douceur, mais il règne par force

.... Contre son beau-père [César] ayant besoin d'asile, Sa déroute orgueilleuse [de Pompée] en cherche aux mêmes lieux [Égypte] Où contre les Titans en trouvèrent les dieux

On n'a tous deux qu'un coeur qui sent mêmes traverses

Déjà les deux armées D'une égale chaleur au combat animées

Les dieux plus pitoyables à nos justes clameurs se rendent exorables

La nature et l'amour ont leurs droits séparés ; L'un n'ôte point à l'autre une âme qu'il possède

Comment ? - De ce carfour j'ai vu venir Philinte

Toutes ces cruautés.... Sont les degrés sanglants dont Auguste a fait choix Pour monter sur le trône et nous donner des lois

Nous avons le coeur bon, et, dans nos aventures, Nous ne fûmes jamais hommes à confitures

Ils servent à l'envi la passion d'un homme

Romains contre Romains, parents contre parents Combattaient seulement pour le choix des tyrans

Ce n'est qu'une pièce de théâtre que je lui présente, mais qui l'entretiendra de Dieu ; la dignité de la matière est si haute, que l'impuissance de l'artisan ne la peut ravaler

N'espère point de joie, ô mon coeur, que frivole, N'en espère aucune ici-bas, Qu'en ce grand Dieu de qui le bras Soutient l'humble et le pauvre et partout le console