Citations sur corneille

Vous vous mettez fort mal au chemin de régner. - Seigneur, si je m'égare, on peut me l'enseigner

Moi j'accepte la paix que vous m'avez offerte

C'est de quoi je voulais vous faire confidence

C'est sans attentat Que vous avez changé la forme de l'État

Surtout il est instruit dans l'art de bien régner

Je ne puis démentir cette horreur magnanime Qu'en recevant le jour je conçus pour le crime

Je suis reine, seigneur ; et Rome a beau tonner, Elle ni votre roi n'ont rien à m'ordonner

Ne montrez à la cour que votre renommée

Je cherche à te rejoindre et non à m'en défendre [de la mort]

Sans prendre aucun souci de votre dignité

Seigneur, je suis Romain et du sang de Pompée

Je vois.... Que la vertu du fils soutient celle du père, Qu'elle ranime en lui la raison qui mourait

Ô partage inégal de ce courroux céleste ! Je suis le parricide....

Si c'était lui-même, il pourrait me connaître

Employez-vous pour eux ; faites auprès d'un père Qu'ils ne soient pas compris dans l'exil de leur mère

Suivez, suivez, seigneur, le ciel qui vous inspire : Votre gloire redouble à mépriser l'empire

.... Les plus dignes soins d'une flamme si pure Deviennent partagés à toute la nature

Tout va choir en ma main, ou tomber dans la vôtre

Vu que la fuite en est la fin la plus heureuse [d'un duel], Et qu'il faut que, l'un mort, l'autre tire pays

Je l'ai fait votre égal ; et, quoiqu'on s'en mutine, Sachez qu'à plus encor ma faveur le destine

Je n'ai point fait de narration de la mort de Polyeucte, parce que je n'avais personne pour la faire ni pour l'écouter que des païens qui ne la pouvaient ni écouter ni faire

Et je puis dire enfin que jamais potentat N'eut à délibérer d'un si grand coup d'État

Son esprit ébranlé par les objets présents

Ces lettres de ma foi vous seront de bons gages

Mais s'il fallait encor que l'on en vînt aux coups, Je combattrais pour elle en soupirant pour vous