Citations sur corneille

Plus un homme à lui-même étudie à mourir, Plus il commence à vivre à l'auteur de son être

Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous L'ordre qu'on me voit suivre et que je donne à tous

Il veut sur nos débats conférer avec moi

Te mesurer à moi ! qui t'a rendu si vain ? Toi qu'on n'a jamais vu les armes à la main

Ô vue ! ô sur mon coeur regards trop absolus

J'en laissai deux sans vie et mis l'autre aux abois

Et si je puis jamais avec votre assistance Arriver jusqu'aux lieux de mon obéissance

Mais puisque dans un mal si doux et si cuisant Votre vertu combat et son charme et sa force

Ainsi ce fugitif retombe dans sa chaîne, Et vous pouvez, seigneur, ordonner de sa peine

Et que de mon bonheur vous avez abusé Jusqu'à plus attenter que je n'aurais osé

J'abandonnai mon âme à des ravissements....

Et sous le nom d'un fils toute faute est légère

Et la diversité soit des temps soit des lieux Demande à notre ardeur de différents offices

L'ambassadeur romain me demande audience

Si je réduis Pompée à chasser Émilie....

Madame, vous voyez, je ne puis davantage ; Et qui fait ce qu'il peut n'est plus garant de rien

Quoi ! l'amour, l'amitié, tout va d'un froid égal !

Et d'un peu de poussière élever un tombeau à celui qui du monde eut le sort le plus beau

Je vous dirais, seigneur (car ce n'est plus à moi à nommer autrement et mon juge et mon roi)

On les [les taureaux qui lançaient le feu] a vus au joug, et le champ labouré

De votre lieutenant m'envieriez-vous le nom ?

Mais c'est trop la tenir dedans l'incertitude

Jusqu'à ce que ma main de ses fers le dégage

La choquer hardiment [la fortune], et, sans craindre la mort, Se présenter de front à son plus rude effort

Qu'il fasse autant pour soi comme je fais pour lui