Citations sur corneille

Le désir de savoir est naturel aux hommes ; Il naît dans le berceau sans mourir qu'avec eux

Sinon, j'en jure encore, et ne t'écoute plus, Son trépas dès demain punira ses refus

Et quelque cruauté qu'elle veuille essayer, S'il ne faut que du sang, j'ai trop de quoi payer

Ce que j'ai dans l'esprit, je ne le puis celer

Il ne tiendra qu'au roi qu'aux effets je ne passe

Ce que je trouve à dire en la confidence que fait Cléopâtre

J'ai vu par sa valeur cent escadrons rompus

Notre amour à tous deux ne rencontre qu'obstacles Presque impossibles à forcer

Quoi ! vous causez sa perte, et n'avez point de pleurs ? - Non, je ne pleure point, madame, mais je meurs

Ton illustre audace Fait bien revivre en toi les héros de ma race ; C'est d'eux que tu descends, c'est de moi que tu viens

L'honneur d'un si beau choix serait trop acheté, Si l'on nous soupçonnait de quelque lâcheté

Lis un livre dévot, simple et sans éloquence Avec plaisir pareil Que ceux où se produit l'orgueil de la science En son haut appareil

Ces dévots indiscrets dont le zèle incommode, Pour les rendre saints à leur mode, Leur forme une conduite et fait des lois à part, Au lieu de s'avancer par un secret mérite, Perdent ce qu'en commun dans la règle on profite, à force de vivre à l'écart

Le poids honteux des fers

Il est mêlé de pointes, comme dans cette première ; mais ce n'était pas alors un si grand vice dans le choix des pensées, que la scène en dût être entièrement purgée

Tout ce que je voyais me semblait Curiace ; Tout ce qu'on me disait me parlait de ses feux ; Tout ce que je disais l'assurait de mes voeux

C'est un jour choisi par deux souverains pour l'effet d'un traité de paix entre leurs couronnes ennemies

Un salutaire avis agit avec lenteur

Au surplus, pour ne te point flatter, Je te donne à combattre un homme à redouter

Percé, jusques au fond du coeur, D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle

Vous irritez un roi dont vous voyez l'armée Nombreuse, obéissante, à vaincre accoutumée

Oui, tandis que le roi va lui-même en personne Jusqu'aux pieds de César prosterner sa couronne

Ce grand coup doit tomber plus insensiblement

Aspar vient, faites-lui, ma soeur, quelque ouverture

C'est une croyance assez générale que cette pièce pourrait passer pour la plus belle des miennes, si les derniers actes répondaient aux premiers