Citations sur corneille

Chez les philosophes, tout ce qui n'est point de la foi ni des principes est disputable

Rien plus ne le retarde, et déjà ses trompettes Aux confins de l'Artois lui servent d'interprètes

J'ai pris, pour m'expliquer, un style simple, et me contente d'une expression nue de mes opinions, bonnes ou mauvaises, sans y chercher aucun enrichissement d'éloquence

Vous qui devez respect au moindre des Romains

Va, bienheureux amant, cajoler ta maîtresse

Achevez, je vous prie, Et souffrez qu'à ce mot ma curiosité Vous demande sa part de cette nouveauté

J'entreprendrais sur elle à l'accepter de vous

Et toujours la fortune, à me nuire obstinée, Tranche mon espérance aussitôt qu'elle est née

À mes plus saints désirs la trouvant inflexible

Est-ce lui qui naguère aux dépens de sa vie Sauva des ennemis votre empereur Décie ?

Mais votre frère Attale adresse ici ses pas

Aucun n'est éclairé de rayons si puissants, Aucune âme si haut ne se trouve ravie....

Lui rendre Nicomède avecque ma couronne

Que le galant alors soit frotté d'importance

Soutiendrez-vous un faix sous qui Rome succombe ?

[Il] nous surprend, nous assiége, et fait un tel effort, Que, la ville aux abois, on lui parle d'accord

On fait plus, on m'impute un coup si plein d'horreur Pour me faire un passage à vous percer le coeur

En voici d'autres de Corneille et de Molière où il faudrait, suivant la même décision, faire des merveilles ou faire merveilles : Déguisant son nom et cachant sa famille, Il avait fait merveille aux guerres de Castille

Mes pareils à deux fois ne se font pas connaître, Et pour leurs coups d'essai veulent des coups de maître

La splendeur de leurs noms en est-elle obscurcie ?

À peine sortions-nous pleins de trouble et d'horreur, Qu'Attila recommence à saigner de fureur

Tous ces ciels étaient supposés solides, et de là ces expressions-ci : Tombe sur moi le ciel, pourvu que je me venge !

[Elle] ....veut lier les mains au destin adouci Qui m'offre en d'autres lieux ce qu'on me vole ici

Tant qu'ils [les hommes] ne sont qu'amants, nous sommes souveraines

Et les proscriptions et les guerres civiles