Citations sur r. belleau

Cages d'ozier, esclissées de petits barreaux de troinelle pelée

Gentil papillon tremblotant, Papillon toujours voletant, Grivolé de cent mille sortes En cent mille habits que tu portes

....Que la France enyvrée Soit grosse d'un beau printemps, D'un printemps qui tousjours dure, Et qui surmonte l'injure Et les eschanges des temps

Le suc fort bigarré fait l'agathe et l'opalle

Va te plonger trois fois dans le fleuve d'Argire, Et te lave le corps, puis moitte le retire, Et l'essarde à la lune, afin que la vigueur Et le charme de l'eau penetre jusqu'au coeur

Elle arme la faible jeunesse, Pendue au col, de hardiesse Contre les souleurs de la nuict

Esgouts faits à gargouilles et muffles de lyon

....Quand dessus le sec ou les moites sablons En foulle de la mer retourne la mouette.... Puis se reporte en mer, c'est un signe de voir Tost après sur les eaux un grand vent esmouvoir

... que ton importun caquet Soit fait compaignon du claquet, Du baril et de la besace D'un ladre vert....

Ces bergeres y travaillent sans cesse, l'une après le labeur industrieux de quelque gentil ouvrage de broderie, l'autre après un lassis de fil retors ou de fil de soye de couleur

Se vend aussy cher comme creme

Les frayeurs, les souleurs des sinistres oiseaux

[Des colonnes] pour soutenir le plinthe de ce bastiment [une sépulture]

Pesches, avant-pesches, presses, pavis, perdigoines

Driller avait aussi le sens de briller : Comme le feu dans la fournaise, Enseveli dessous la braise, Drille et flamboye estincelant

Pauvre, chetive, malheureuse, Et fortunée que je suis

Là de ce vin confit tu beurois, amoureux, Et de mon grenadier le surmoust savoureux

.... Sans le mol esventail [action d'éventer] De ce doux vent....