Citations sur rons.

Par ta mort, Adonis, toutes delices meurent

Tant plus elle est aimée, et tant plus elle prend Plaisir à contre-aimer....

Puis de haineux devenus bons amis...

...admirant la belle Calliope, Je devins amoureux de sa neuvaine trope

Tout le coeur me gela voyant ce monstre infait

Je fuy les grands chemins frayez du populaire

Tant leur mignotise [de ses yeux] darde D'amours à qui les regarde

Et voyant le bateau qui s'enfuyoit de moy, Parlant à Marion, je chantay ce convoy

Elle, marchant à tresses descoiffées, Apparoissoit la princesse des fées

Bien que les champs de ton estre [pays].... Du pays qui me vid naistre, Ne se bornent pas bien loin

Villes et forts et royaumes perissent Par le temps tout exprès Pour donner place aux nouveaux qui fleurissent, Qui remourront après

Les morions, les piques des soldars, Et les harnois fourbis de toutes pars, Et l'emery des lames acerées.... Une lumiere envoyent dans les cieux

Mais mon serment s'envola dans la nue : Serment d'amour jamais ne continue

Le dos en gemissoit, Et sans playe l'espée en haut rejaillissoit

Cestuy-là [le soleil] de ses yeux Enlustre, enflamme, enlumine les cieux, Et cestuy-ci nostre France decore

[Childéric] luy honnira sa femme Pour le loyer de l'avoir bien reçeu

En se jouant il m'a de part en part Le coeur outrepercé

Si j'estois à renaistre au ventre de ma mere

[Il] Cognoissoit bien le pied, la sole et les alleures.... et sçavoit, Sans avoir veu le cerf, quelle teste il avoit

Elle prend son arc turquois, Recoiffe sa tresse blonde, Met pour chevet son carquois, Puis s'endort au bruit de l'onde

J'ay joué comme aux dés mon coeur et mes amours ; Arriere bien ou mal, la chance en est jettée

Pour retenir un amant en servage, Il faut aimer et non dissimuler [feindre]

En cent façons retordent leurs cheveux, Ondez, crespez, entrefrisez de noeuds

Et vous, thym, anis et melisse, Vous soyez les bien revenus

Et l'homme mort est bienheureux : Heureux qui plus rien ne desire