Citations sur rotr.

Nos deux frères sont morts, ma mère suit leurs pas, Et le ciel toutefois ne se satisfait pas

En mon seul déshonneur bornait tous ses désirs

Tels que d'une mer agitée On voit les flots s'entre-suivants Se fuir après au gré des vents Et ne tenir jamais une assiette arrêtée

Chaque instant m'est un jour, tout objet m'est hideux

Pour vous, ma chère soeur, sage et pieuse fille, Gloire du sang d'Oedipe, honneur de sa famille

Ma voix rendrait les bois et les rochers sensibles

Ta bonace la plus profonde N'est jamais sans quelque vapeur

Je sais qu'un fils qu'on perd afflige vivement

Et nouons entre nous de si parfaits accords Que nous n'ayons qu'un coeur et qu'une âme en deux corps

Et mille observateurs que j'ai commis exprès

Il faut qu'enfin quelqu'un réprime ses licences

Je crains que le présent taché du sang de Nesse....

Quoi ! quand le coeur outré de sensibles atteintes....

La fureur s'alentit par le retardement

J'en parerai les coups du bouclier de la foi

Monsieur, on tient conseil, et le roi vous demande

Leur obstination s'irrite par les peines

Qui vit avec honneur doit mourir constamment

Qui vous réveille donc avant que la lumière Ait du soleil naissant commencé la carrière ?

Jamais la Vérité, cette fille timide, Pour entrer chez les rois ne trouve qui la guide

Je dois bien moins en prendre [des lois] et d'un fol et d'un fils

L'horrible cri d'une troupe d'orfraies, D'infaillibles malheurs messagères trop vraies

Provoquer au combat

Vous voilà, vains honneurs qui m'enfliez le courage, Écoulés en un jour comme l'eau d'un orage

Jamais l'occasion.... Ne s'offre assez commode aux poltrons comme toi