Citations sur rends

Si d'adventure tu te rends et es las de plus tenter la fortune

Si d'aventure tu te rends et es las de plus tenter la fortune, aussi suis-je quant à moy las de plus vivre

Je me réserve à parler comme je dois d'une si rare vertu en mon grand ouvrage, où je rends à chacun selon ses oeuvres

Je ne fais aucun tort à mes semblables ; je les respecte quand je le dois ; je leur rends des services quand je le puis ; je leur laisse leurs prétentions, et j'excuse leurs faiblesses

Elle [l'eau] rend l'homme etique et pale et morfondu ; Mais toi [vin], tu rends gaillarde et saine la personne

Et rends enfin au Vaudeville Ses grelots et son tambourin

Non loin de ce palais où je rends mes oracles, Est un vaste séjour des mortels révéré Et de clients soumis à toute heure entouré

Tu fais d'un sable aride une terre fertile, Et rends tout mon jardin à tes lois si docile

Bonjour, mon frère ; tu te rends bien rare depuis quelque temps

Tu céderas.... Alger, riche des dépouilles de la chrétienté ; tu rends déjà tes esclaves ; Louis a brisé les fers dont tu accablais ses sujets, qui sont nés pour être libres sous son glorieux empire

Elle n'est point parleuse, et j'en rends grâce à Dieu

Touche ces cheveux blancs à qui tu rends l'honneur

Je leur rends ce pouvoir dont je me suis démise

Je vous rends Aristie et finis cette crainte Dont votre âme tantôt se montrait trop atteinte

Je rends grâces aux dieux de n'être pas Romain

Ils violent des droits que tu n'a pas gardés ; Leur trahison est juste, et le ciel l'autorise ; Quitte ta dignité comme tu l'as acquise ; Rends un sang infidèle à l'infidélité [c'est-à-dire à ceux qui te trahissent], Et souffre des ingrats après l'avoir été

... l'âme pécheresse Que tu rends toute vide à sa fragilité, Et que ton ire vengeresse Punit dès ici-bas par cette inanité

Ah ! tu me rends la vie et le sceptre à la fois ; Un sage conseiller est le bonheur des rois

Va-t'en, et ne rends plus la victoire douteuse, La dispute déjà m'en est assez honteuse

Il fait tous ses efforts pour gagner mes parents, Et, s'il les peut fléchir, quant à moi, je me rends ; Non, à dire le vrai, que son objet me tente ; Mais, mon père content, je dois être contente

Quelle reconnaissance, ingrate, tu me rends Des bienfaits répandus sur toi, sur tes parents !

Tu veux à ce héros rendre un devoir suprême ; L'honneur que tu lui rends rejaillit sur toi-même

Je t'ai donné la vie et tu me rends ma gloire ; Et, d'autant que l'honneur m'est plus cher que le jour, D'autant plus maintenant je te dois de retour

Prends Corbie, Espagnol, prends-la, que nous importe ? Tu la rends à mon roi plus puissante et plus forte.... Et s'il t'a par pitié permis une victoire, Ta victoire elle-même a travaillé pour lui

Oui sur tous mes désirs je me rends absolu