Citation Il n y a pas de fin
Découvrez une citation Il n y a pas de fin - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase Il n y a pas de fin issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 80 citations et proverbes sur le thème Il n y a pas de fin.
80 citations
Il n'y a pas un tableau au monde devant lequel tu peux sentir que le monde aurait pu commencer avec toi ; mais il existe des finales de symphonies qui t'ont souvent poussé à te demander si tu n'étais pas le commencement et la fin.
Chaque fin d'amour est comme un déménagement. Cela ne va pas sans casse. Au dixième, combien y a-t-il de meubles en état ?
Je n'insisterai pas sur ce qu'il y a d'impossibilité historique à ce que Wagner soit le premier compositeur de l'Allemagne. Alors, Bach ? C'est un homme qui a eu beaucoup d'enfants? Beethoven ? en est un autre qui avait si mauvais caractère qu'il prit le parti de devenir sourd afin de mieux ennuyer ses contemporains avec ses derniers quatuors. Quant à Mozart, il vaut mieux n'en pas parler, c'est un petit voluptueux qui a écrit Don Juan pour embêter l'Allemagne.
Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! [applaudissements nourris] si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur [rires nourris], eh bien le travailleur français sur le palier devient fou. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. Nous n'avons plus les moyens d'honorer le regroupement familial, et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s'impose dans notre pays, qui est un vrai débat moral, pour savoir s'il est naturel que les étrangers puissent bénéficier, au même titre que les Français, d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne paient pas d'impôt ! [...] Il faut que ceux qui nous gouvernent prennent conscience qu'il y a un problème de l'immigration, et que si l'on ne le traite pas et, les socialistes étant ce qu'ils sont, ils ne le traiteront que sous la pression de l'opinion publique les choses empireront au profit de ceux qui sont les plus extrémistes.
La fin est si immense qu'elle contient sa propre poésie. Il n'y a pas à faire de rhétorique. Juste dire les choses simplement.
Aujourd'hui, par les armes, nous avons mis fin au mythe ravageur de l'Algérie française, mais pour tomber sous le pouvoir d'un mythe encore plus ravageur : celui de l'Algérie arabo-musulmane, par la grâce de dirigeants incultes. L'Algérie française a duré cent trente ans. L'arabo-islamisme dure depuis treize siècles ! L'aliénation la plus profonde, ce n'est plus de se croire français, mais de se croire arabe. Or il n'y a pas de race arabe, ni de nation arabe. Il y a une langue sacrée, la langue du Coran dont les dirigeants se servent pour masquer au peuple sa propre identité !
Il y a longtemps que l'Amérique a perdu toute conscience. L'Oncle Sam n'a pas de conscience. Ces gens ne savent pas ce qu'est la morale. Ils ne s'efforcent pas de mettre fin à un mal parce que c'est un mal, ou parce que c'est illégal, ou parce que c'est immoral ; ils n'y mettent fin que si cela constitue une menace pour leur existence. Vous perdez donc votre temps à en appeler à la conscience morale de ce failli d'Oncle Sam.
Le romancier est un marin à qui on dit « ton bateau est là, il faut que tu l'emmènes là », et entre les deux il n'y a rien, pas de balise Argos, rien. Quand je commence, je ne sais pas du tout ce qui peut se passer à la fin. Si je le savais, je ne l'écrirais pas. Je jette les dés sur la table. Tu gagnes ou tu perds.
Misérable est celui qui fonde toute son espérance en un soutien mortel. Mais quel est l'homme assez fort pour ne pas s'y fier ? S'il se trouve à la fin trompé, c'est bien tant pis pour lui.
La jeune femme si fit la réflexion qu'on devrait toujours commencer par lire les dernières phrases d'un message. Ce sont toujours elles qui parlent avec le coeur et expriment vraiment ce que l'on n'ose pas dire dès le début. En fin de lettre, il y a cette urgence qui trahit la peur de manquer de place et incite à enfin dire ce qu'il y a de plus important.
Aujourd'hui, 11/11/11 à 11h11, je rassure tout le monde, il n'y a pas eu de fin du monde... En effet, en regardant la commémoration du 11 Novembre à la TV, le chef de l'Etat est toujours Nicolas Sarkozy et non François Hollande... Ouf.
Le pardon n'est pas une baguette magique. Il y a le pardon du vouloir et celui du pouvoir : on veut pardonner mais on ne peut pas. Quand on peut, lorsque enfin la tête et le coeur finissent par être d'accord, il reste le souvenir, ces choses douloureuses qui remontent à la surface, qui troublent et raniment la haine. C'est le pardon de la mémoire. Ce n'est pas le plus facile. Il exige beaucoup de temps.
Il y a des choses qu'on n'a pas du tout envie de croire possibles. On les pousse tout au bout de son cerveau, dans un petit coin sombre où on ne les voit plus, comme on planque des trucs sous le lit dans sa chambre. Enfin, moi, c'est comme ça que je fais, et si ça marche avec les papiers de bonbons, ça peut marcher avec d'autres trucs.
Lécher sa vie comme un sucre d’orge, la former, l’aiguiser, l’aimer enfin. Là était toute sa passion. Cette présence de lui-même à lui-même, son effort désormais était de la maintenir devant tous les visages de sa vie, même au prix d’une solitude qu’il savait maintenant si difficile à supporter. Il ne trahirait pas. Toute sa violence l’y aidait et le point où elle le portait, son amour l’y rejoignait comme une furieuse passion de vivre.
Une pluie mêlée de flocons de neige tombait sur la terre étrangère. La piste de béton, les bâtiments et les gardes de l'aérodrome étaient trempés. La neige fondue baignait la plaine et les collines à l'entour, faisant luire l'asphalte noir de la chaussée. En toute autre saison cette pluie monotone eût semblé à quiconque une triste coïncidence. Mais le général n'était guère surpris. Il venait en Albanie afin d'assurer le rapatriement des restes de ses compatriotes tombés à tous les coins du pays pendant la dernière guerre mondiale. Les négociations avaient été entamées dès le printemps et les contrats définitifs signés seulement à la fin du mois d'août, quand, justement, les premières journées grises font leur apparition. On était maintenant en automne. C'était la saison des pluies, le général le savait. Avant son départ, il s'était renseigné sur le climat du pays. Cette période de l'année y était humide et pluvieuse. Mais le livre qu'il avait lu sur l'Albanie lui aurait-il appris que l'automne y était sec et ensoleillé, cette pluie ne lui aurait pas, pour autant, paru insolite. Au contraire. Il avait en effet toujours pensé que sa mission ne pouvait être menée à bien que par mauvais temps.
Enfin, le soufisme n'était pas une maladie, ce qui m'a déjà rassuré un peu, c'était une façon de penser - même s'il y a des façons de penser qui sont aussi des maladies, disait souvent monsieur Ibrahim.
Pour les nouilles froides, il y a deux écoles de pensée. Faut-il les déguster l'été pour qu'elles vous rafraîchissent ( froid dans le chaud = effet froid ) ou l'hiver afin qu'elles produisent un choc salutaire ( froid dans le froid = effet chaud ) et vous requinquent ? Je n'ai pas su trancher, on était au printemps.
Tu sais, jeune homme, remonter aux origines n’est jamais facile : il y a l’oubli — ce grand trou noir —, la nostalgie, la pudeur qui transmuent les souvenirs. Et si raconter ma propre vie suppose que je vide ma mémoire sans crainte de réveiller d’anciennes douleurs, raconter celle des autres exige le secours de l’imagination. Car enfin, comment appréhender la pensée, les sentiments, les secrets d’autrui quand on ne les a pas partagés ? Comment pénétrer, comment violer, le sanctuaire d’une vie ? Comment remplir les blancs que nos semblables ont, sciemment ou non, laissés derrière eux ? Comment cerner tout ce qui a déterminé leur action, comment justifier leurs actes — si tant est qu’il faille toujours « justifier » ?
Il n'y a pas de fin. Il n'y a pas de début. Il n'y a que la passion infinie de la vie.
Il n'y a de terrible en nous et sur la terre et dans le ciel peut-être que ce qui n'a pas encore été dit. On ne sera tranquille que lorsque tout aura été dit, une bonne fois pour toutes, alors enfin on fera silence et on aura plus peur de se taire.
Moralisme et niaiserie qui, loin d'être inhérents à la parole féminine, surgissent dès qu'on veut rejeter toute la criminalité sur l'autre sexe » ; il est à regretter « d'entendre répéter un peu partout aujourd'hui comme un fait établi qu'il n'y a pas de femmes voyeurs, qu'il n'y a pas de femmes sadiques, et enfin et surtout, mais c'est le b-a ba de l'aveuglement néo-féministe, que le regard est une fonction phallique
Pourquoi déclamer contre les passions ? Ne sont elles pas la seule belles choses qu'il y ait sur la terre, la source de l'héroïsme, de l'enthousiasme, de la poésie, de la musique, des arts, de tout enfin ?
J'essayais de garder un petit appui en dehors de vous, afin de pouvoir m'y accrocher le jour où vous de m'aimeriez plus. Ce petit appui, ce n'était pas un autre, ce n'était pas un rêve, ni une image. C'était ce que vous appeliez mon égoïsme et mon orgueil ; c'était moi que, dans la souffrance, je voulais pouvoir retrouver.
Désormais, Paol est un ennemi du Reich, un indésirable. On lui a retiré ses papiers, ses lacets, sa ceinture. Sur la paillasse, il ne cesse de recomposer les derniers instants, son cerveau ayant tout enregistré, il voit enfin la scène, y traquant en vain quelque chose, un indice : les pas dans la cour, la sonnerie, son nom prononcé derrière la porte, les sbires qui se ruent, cette narcose vénéneuse filtrant de partout, avec lui au milieu, en accéléré entre les plans ralentis, c'était son coeur qui battait fort, il est ceinturé dans la Citroën, la portière claque, il traverse le bourg, croise une section de soldats allemands en colonne, et puis deux gars au seuil d'une ferme, un copain sur son vélo au croisement, un autre plus âgé qui guette par la fenêtre en angle du café d'Ys, tout le village sera au courant, la voiture descend jusqu'à l'Aulne pour franchir le pont, le bruit du moteur coupe en deux les champs et les futaies en attaquant une nouvelle côte, il a un mal de tête atroce, sa main est insensible comme du marbre, et le ruban d'asphalte par la lunette arrière est devenu sa vie débobinée tant les virages se répètent et s'évanouissent, il n'y a pas de héros, il doit oublier le réseau, ils vont si vite, un accident serait préférable à ce qui l'attend, et après le dernier croisement le panneau fléché « BREST » lui oppresse soudain la poitrine et l'affole…
C’est une chose d’une grande conséquence que d’habiller les pingouins. À présent, quand un pingouin désire une pingouine, il sait précisément ce qu’il désire, et ses convoitises sont bornées par une connaissance exacte de l’objet convoité. En ce moment, sur la plage, deux ou trois couples de pingouins font l’amour au soleil. Voyez avec quelle simplicité ! Personne n’y prend garde et ceux qui le font n’en semblent pas eux-mêmes excessivement occupés. Mais quand les pingouines seront voilées, le pingouin ne se rendra pas un compte aussi juste de ce qui l’attire vers elles. Ses désirs indéterminés se répandront en toutes sortes de rêves et d’illusions ; enfin, mon père, il connaîtra l’amour et ses folles douleurs. Et, pendant ce temps, les pingouines, baissant les yeux et pinçant les lèvres, vous prendront des airs de garder sous leurs voiles un trésor !… Quelle pitié !
Le livre des leurres (1936) de Emil Cioran
Références de Emil Cioran - Biographie de Emil Cioran
Plus sur cette citation >> Citation de Emil Cioran (n° 130778) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Physiologie de l'amour moderne (1883) de Paul Bourget
Références de Paul Bourget - Biographie de Paul Bourget
Plus sur cette citation >> Citation de Paul Bourget (n° 131131) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Monsieur Croche, et autres écrits (1987) de Claude Debussy
Références de Claude Debussy - Biographie de Claude Debussy
Plus sur cette citation >> Citation de Claude Debussy (n° 169655) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Jacques Chirac, 19 juin 1991, Orléans, dans Le Monde, paru 21 juin 1991 : discours tenu par Jacques Chirac alors président du Rassemblement pour la République (RPR, droite) et maire de Paris au cours d'un dîner-débat du RPR, de Jacques Chirac
Références de Jacques Chirac - Biographie de Jacques Chirac
Plus sur cette citation >> Citation de Jacques Chirac (n° 137490) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Exit le fantôme (2009) de Philip Roth
Références de Philip Roth - Biographie de Philip Roth
Plus sur cette citation >> Citation de Philip Roth (n° 131633) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pourquoi je ne suis pas musulman (1989), Ibn Warraq, éd. Age de l'Homme, 1999 de Yacine Kateb
Références de Yacine Kateb - Biographie de Yacine Kateb
Plus sur cette citation >> Citation de Yacine Kateb (n° 161874) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
« The Ballot or the Bullet » (« Le bulletin de vote ou le fusil ») discours prononcé le 3 avril 1964 à Cleveland. de Malcolm X
Références de Malcolm X - Biographie de Malcolm X
Plus sur cette citation >> Citation de Malcolm X (n° 152745) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview Encres Vagabondes, propos recueillis par Serge Cabrol de Pascal Garnier
Références de Pascal Garnier - Biographie de Pascal Garnier
Plus sur cette citation >> Citation de Pascal Garnier (n° 167870) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Triomphes, Le triomphe de la mort, I de Pétrarque
Références de Pétrarque - Biographie de Pétrarque
Plus sur cette citation >> Citation de Pétrarque (n° 134893) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Minute, papillon ! de Aurélie Valognes
Références de Aurélie Valognes - Biographie de Aurélie Valognes
Plus sur cette citation >> Citation de Aurélie Valognes (n° 159239) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Une boîte de petits "moi" de Damien Caillaud
Références de Damien Caillaud - Biographie de Damien Caillaud
Plus sur cette citation >> Citation de Damien Caillaud (n° 106973) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Plus fort que la haine (1999) de Tim Guénard
Références de Tim Guénard - Biographie de Tim Guénard
Plus sur cette citation >> Citation de Tim Guénard (n° 173963) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Ma mère, le crabe et moi (2015) de Anne Percin
Références de Anne Percin - Biographie de Anne Percin
Plus sur cette citation >> Citation de Anne Percin (n° 167305) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Mort heureuse (1971) de Albert Camus
Références de Albert Camus - Biographie de Albert Camus
Plus sur cette citation >> Citation de Albert Camus (n° 166011) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Général de l'armée morte (1963) de Ismaïl Kadaré
Références de Ismaïl Kadaré - Biographie de Ismaïl Kadaré
Plus sur cette citation >> Citation de Ismaïl Kadaré (n° 162017) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran (2001) de Eric-Emmanuel Schmitt
Références de Eric-Emmanuel Schmitt - Biographie de Eric-Emmanuel Schmitt
Plus sur cette citation >> Citation de Eric-Emmanuel Schmitt (n° 141684) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Nouilles froides à Pyongyang (2013) de Jean-Luc Coatalem
Références de Jean-Luc Coatalem - Biographie de Jean-Luc Coatalem
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Luc Coatalem (n° 164213) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Roman de Beyrouth (2005) de Alexandre Najjar
Références de Alexandre Najjar - Biographie de Alexandre Najjar
Plus sur cette citation >> Citation de Alexandre Najjar (n° 165965) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Fellini, Propos, Ed. Buchet/Chastel, 1980 de Federico Fellini
Références de Federico Fellini - Biographie de Federico Fellini
Plus sur cette citation >> Citation de Federico Fellini (n° 54601) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Voyage au bout de la nuit (1932) de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline
Références de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline - Biographie de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline
Plus sur cette citation >> Citation de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline (n° 44249) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Annie Le Brun, « Brûleront-elles Hans Bellmer ? », paru dans Art Press international, n 24, janvier 1979, repris dans Vagit-prop, Lâchez tout et autres textes, Paris, éd. Ramsay/Jean-Jacques Pauvert, 1990, p. 236 ; cité par Georgiana Colvile, Scandaleuse de Annie Le Brun
Références de Annie Le Brun - Biographie de Annie Le Brun
Plus sur cette citation >> Citation de Annie Le Brun (n° 156129) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Madame Bovary (1857) de Gustave Flaubert
Références de Gustave Flaubert - Biographie de Gustave Flaubert
Plus sur cette citation >> Citation de Gustave Flaubert (n° 127598) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Laissez-moi de Marcelle Sauvageot
Références de Marcelle Sauvageot - Biographie de Marcelle Sauvageot
Plus sur cette citation >> Citation de Marcelle Sauvageot (n° 161278) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La part du fils (2019) de Jean-Luc Coatalem
Références de Jean-Luc Coatalem - Biographie de Jean-Luc Coatalem
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Luc Coatalem (n° 164234) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Ile des Pingouins (1908) de Anatole France
Références de Anatole France - Biographie de Anatole France
Plus sur cette citation >> Citation de Anatole France (n° 175018) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer

- Idee - Idée - Identite - Idiot - Idiotie - Ignorance - Illusion - Image - Imaginaire - Imagination - Imbecile - Imitation - Impatience - Impossible - Impot - Impression - Improvisation - Inattendu - Indelicatesse - Independance - Indifference - Indigestion - Individu - Infini - Ingrat - Ingratitude - Injure - Injustice - Innocence - Inoubliable - Inquietude - Insomnie - Inspiration - Instant - Instinct - Insulte - Intellectuel - Intelligence - Interet - Intérêt - International - Internet - Interprete - Interrogation - Introspection - Intuition - Inutilite - Invitations - Invite - Ironie - Irresolution - Irriter - Islam - Ivresse
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur Il n y a pas de fin
Toutes les citations sur Il n y a pas de fin Citations Il n y a pas de fin Citation sur il Citations courtes il
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Thèmes populaires
Citations d'amour Citations sur l'amour Citations sur l'amitié Citations sur la vie Citations sur le bonheur Citations sur les femmes Citations sur le couple Citations sur la sagesse Citations sur la tristesse Citations sur la mort Citations sur la nature Citations sur l'absence Citations sur le manque Citations sur l'enfance
Liens
