Citation L art de faire
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Une Sélection de 120 citations et proverbes sur le thème L art de faire.
120 citations
Dans la vie réelle, je suis plutôt résolument du côté du bien, non du mal. Mais à quoi bon faire de l'art, si c'est pour reproduire la réalité ?
Sur le quai de la gare, où elle a tenu à l'accompagner, tous les témoins ont vu combien il leur en coûtait de se séparer. Jusqu'au moment du départ ils sont demeurés enlacés, les bras croisés à hauteur de la taille, n'en finissant pas de se regarder, de s'embrasser, n'échangeant pas un mot, tétanisés à l'idée que bientôt un train régional allait les arracher brusquement l'un à l'autre, parvenir à scinder cette créature à deux têtes qu'ils forment sur le quai. Les quelques passagers qui attendent avec eux ont beau faire semblant de s'intéresser au trafic, de tendre l'oreille vers les haut-parleurs nasillards qui recommandent de faire attention au passage d'un train voie C ou que le train prévu à telle heure arrivera voie B, avec un retard de dix minutes environ, de se passionner pour les pigeons perchés sur le bord de la marquise, ou de dégager leur poignet pour vérifier que leur montre marque bien la même heure que l'horloge suspendue entre deux câbles deux lampadaires, on sent bien qu'ils se privent avec peine de la contemplation du beau couple, qu'ils ne demanderaient pas mieux que de s'installer sous leur nez et de compter à la trotteuse de la même montre la durée de leur baiser, ou du moins simplement les contempler, comme s'ils étaient derrière une glace sans tain, se gavant en toute impunité de cet éblouissement partagé de deux cœurs insatiables. Comme ça ne se fait pas [...], alors ils font comme les moineaux, toujours la tête en mouvement, pour capter des éclats de bonheur.
Je suis personnellement frappé de voir combien la peur a longtemps imprégné la plupart de mes rapports, de mes relations humaines : peur de ce que l'autre pense, peur de ce qu'il ne pense pas, peur de ce qu'il dit, peur de ce qu'il ne dit pas, peur d'un excès de paroles, peur d'un silence trop long, peur d'un manque d'amour, peur d'un excès d'amour, peur de parler, peur de taire, peur d'être seul, peur d'entrer en relation, peur de n'avoir rien à faire, peur d'être débordé de travail, peur de plaire, peur de déplaire, peur de séduire... Bon sang, que de peurs! Et que d'énergie consacrée à combattre ces peurs !
On n'explique jamais autrement que par des dispositions personnelles les qualités humaines, la générosité, la charité, l'art de faire de bonnes patates frites. Pourquoi, en revanche, faut-il que les défauts soient toujours imputés à des agents exogènes?
Nous savons qu'on ne peut faire du grand art que dans un climat de liberté absolue. L'inverse est soumission, art conventionnel, donc faux. Et par conséquent il n'est pas utile à l'homme. Les rêves sont utiles parce qu'ils sont libres.
La réforme des retraites était nécessaire, on ne pouvait pas ne rien faire. Cette réforme est-elle acceptée ? A l'évidence non. Une colère s'est exprimée et personne ne peut rester sourd. C'est toute cette colère que de très nombreux Français ont exprimée en manifestant, et pour l'immense majorité, dans le calme et le respect de nos institutions. Personne et surtout pas moi ne peut rester sourd à cette revendication de justice sociale et de rénovation de notre vie démocratique. Colère face à un travail qui, pour trop de Français, ne permet plus de bien vivre, face à des prix qui montent, du plein, des courses, de la cantine. Colère parce que certains ont le sentiment de faire leur part, mais sans être récompensés de leurs efforts, ni en aides ni en services publics efficaces.
A quarante ans on consent à l'annihilation d'une part de soi-même. Le ciel fasse au moins que tout cet amour inemployé vienne redresser et faire resplendir une oeuvre dont je n'ai plus la force en ce moment.
L'art de dire finement les choses... Qu'ai-je affaire de paraître spirituel? L'épaisseur des grands comiques, des Cervantès, Molière, Rabelais. Leur rire est générosité. Celui qui sourit seulement se croit supérieur; il se prête; l'autre se donne.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Faire du gros argent… Je savais, pour avoir régulièrement rencontré dans mes écoutes ce terme impudique et gourmand, qu'il avait l'art d'amadouer les dealers comme des promesses de gâteaux attirent les enfants.
Le langage joue une part importante. Les combattants du FLN par exemple, sont appelés tour à tour fellaghas et moudjahidines. Fellag, c'est le bandit de grand chemin, le coupeur de route, l'arpenteur des mauvaises voies, le casseur de têtes. Moudjahid, en revanche, c'est le soldat de la guerre sainte. Appeler ces hommes des fellaghas, ou des fellouzes, ou des fel, c'est — au détour d'un mot — les présenter comme des nuisances et estimer naturel de se défendre contre eux. Les qualifier de moudjahidines, c'est en faire des héros.
Le sens de l'histoire pour tous ces gens pétris de l'esprit des Lumières et du progrès scientifique, était ascendant, l'humanité s'extrayait du singe pour s'élever par petits bonds vers un avenir radieux. On partait d'un gribouillis et on arrivait à Michel-Ange, sans prendre le risque d'aller plus loin pour ne pas faire de peine, de même qu'on partait de la plus grande sauvagerie des hommes-bêtes, se coiffant avec un clou [...], pour atteindre le plus haut degré de civilisation, par exemple le beau Brummell prenant une matinée pour assortir ses gants à sa cravate, et puis comment on place un archevêque à table, et comment écrire à la veuve d'un général. Sauf qu'on peut aussi inverser le schéma : on part du plus haut, des splendeurs de Lascaux et on arrive à Auschwitz, et ce n'est plus du tout la même conception de l'histoire du monde. C'est une inexorable dégringolade.
Par des suggestions pleines de tact, il est excusable de faire part à vos amis de vos besoins, mais prenez soin de ne pas leur demander carrément leur aide, si vous voulez garder leur amitié.
Mais une dernière observation à faire sur ce premier fruit de l'amitié, c'est que cette libre communication d'un homme avec son ami a deux effets qui, bien qu'opposés, sont également salutaires, savoir : de redoubler les joies et de diminuer les afflictions; car il n'est personne qui, en faisant part de ses succès à son ami, ne sente augmenter sa joie en la communiquant, et qui, au contraire, en répandant pour ainsi dire son âme dans le sein de son ami, et en lui révélant ses chagrins les plus secrets, ne se sente soulagé
En écrivant, j'accomplis un travail que personne ne m'a demandé de faire - à part bien sûr quelques herbes folles et le sourire infailliblement lumineux de mon père disparu.
La plupart des hommes désirent plus d'être admirés que d'être aimés. L'admiration satisfait l'amour-propre, et tous les hommes en ont. L'amitié est une affaire de sentiment, et il y a bien des gens qui n'en ont point.
Parmi les nouveaux riches, comme on disait, vers mil neuf cent, la grande mode était de se faire peindre sous couvert de mécénat. Au fond, les Wittgenstein, comme leurs semblables, se fichaient éperdument de l'art, mais ils voulaient jouer les mécènes.
Nul n'est censé ignorer trois cent mille lois. Seule l'ignorance des lois nous empêche de les contourner. Hors la loi, mais laquelle ? Le meilleur rempart contre les mauvaises lois consiste à leur faire de la publicité.
Le vestiaire me fascine. Il fonctionne comme un sas et, tous les soirs, une métamorphose collective spectaculaire s'y produit. En un quart d'heure, dans une agitation fébrile, chacun entreprend de faire disparaître de son corps et de son allure les marques de la journée de travail. Rituel de nettoyage et de remise en état. On veut sortir propre. Mieux, élégant.
Je préfère le cinéma à la littérature. Le cinéma est un art de la femme, c'est-à-dire de l'actrice. Le travail du metteur en scène consiste à faire faire de jolies choses à de jolies femmes.
On a tendance à ne pas vouloir faire de mal, au départ. Ni à soi-même ni aux autres. Tout ce que l'on veut, c'est donner de l'amour, et recevoir en retour le don de l'amour, offert sans raison et au-delà de nos mérites.
Satisfaire sa femme faisait partie de ses devoirs d’époux, ça ne le rendait pas gâteux pour autant. Il ne voulait pas qu’elle s’angoisse, ni qu’elle soit triste, quoi de plus légitime ? Néanmoins, des expressions comme « tu es tombé bien bas » ou « tu trembles devant elle » l’avaient mis hors de lui parce qu’elles contenaient une part de vérité.
Mon nez a reçu de mauvais coups. Il est mou et part dans tous les sens. Je me suis fait refaire le bout du cartilage!
De même qu’il faut savoir s’arrêter en art, qu’un moment vient toujours où une sculpture ne doit plus être touchée et qu’à cet égard une volonté d’inintelligence sert toujours plus un artiste que les ressources les plus déliées de la clairvoyance, de même il faut un minimum d’inintelligence pour parfaire une vie dans le bonheur. À ceux qui ne l’ont pas de la gagner.
Notre cauchemar actuel, la Bombe, s'y trouve déjà en germe. En 1959, ce n'était déjà pas drôle, cela l'est encore moins maintenant car le risque n'a fait que croître. Cela n'a jamais rien eu de subliminal. A part cette succession de fous criminels qui sont au pouvoir depuis 1945, et qui auraient pu y faire quelque chose, nous autres, pauvres moutons, nous avons vécu en proie à une peur élémentaire et universelle. Sans doute avons-nous tous essayé, à un degré quelconque, de vivre dans la lente escalade de l'impuissance et de la terreur, soit en essayant de penser à autre chose, soit en perdant carrément la tête. Parmi ces différentes manifestations d'impuissance, une solution se présentait : en faire de la fiction, le cas échéant, comme ici sur le fond d'un lieu et d'une époque plus pittoresques.
Interview pour Télérama 3138 - Propos recueillis par Nathalie Crom le 05/03/2010. de Pierre Guyotat
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La Femme promise (2009) de Jean Rouaud
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Cessez d' être gentil, soyez vrai - Etre avec les autres en restant soi-même (2001) de Thomas d' Ansembourg
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Sans référence de Jean Dion
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Conversations à Buenos Aires (2001) de Ernesto Sábato
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Allocution d'Emmanuel Macron, le 17 avril 2023 de Emmanuel Macron
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Carnets III, mars 1951 - décembre 1959 (1989) de Albert Camus
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Journal 1889-1939, 16 juin 1932 de André Gide
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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La Daronne de Hannelore Cayre
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L'Art de perdre (2017) de Alice Zeniter
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La Femme promise (2009) de Jean Rouaud
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Écrit anonyme de Anonyme
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Essais , XXVII. De l'amitié de Francis Bacon
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Un assassin blanc comme neige (2011) de Christian Bobin
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Pensées et réflexions morales sur divers sujets (1760) de Marie-Geneviève-Charlotte Darlus, Thiroux d' Arconville
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Le Neveu de Wittgenstein (1982) de Thomas Bernhard
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Le livre de la déraison souriante (1991) de Robert Sabatier
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L'Etabli (1978) de Robert Linhart
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Les Films de ma vie (1975) de François Truffaut
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Féroces (2010) de Robert Goolrick
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D'eau et de feu (2013) de Françoise Bourdin
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Dans VSD, octobre 2005. de Ophélie Winter
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La Mort heureuse (1971) de Albert Camus
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L'Homme qui apprenait lentement (2012) de Thomas Pynchon
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